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YUAN MEI Ce dont le Maître ne parlait pas Librairie Eklectic

Ce dont le Maître ne parlait pas

Auteur : YUAN MEI
Editeur : GALLIMARD         collection : CONNAISSANCE DE L´ORIENT
Nombre de pages : 369
Date de parution : 23/11/2011
Forme : Livre ISBN : 9782070131839
CONNO121

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 24.90€

Contemporain d´un grand empereur de la dynastie des Qing, Yuan Mei (1716-1798) occupe une place originale dans l´histoire de ce brillant XVIIIe siècle. Ses audaces et ses provocations, sa conduite frivole et scandaleuse, sa liberté de pensée et l´invention géniale d´une nouvelle forme de poésie, plus naturelle et spontanée, ont valu à ce grand écrivain, à ce sybarite, une immense popularité, en même temps que l´exécration d´une partie de l´aristocratie lettrée.
En marge de ses travaux d´érudition, Yuan Mei s´inscrit dans la longue tradition de la littérature romanesque. Le titre sarcastique du présent recueil s´inspire d´une phrase célèbre des Entretiens de Confucius, ce Maître qui « ne parlait ni du fantastique, ni de la violence, ni du désordre, ni du surnaturel ». Or, c´est précisément d´une collection de contes qui contreviennent à ces exclusions que Yuan Mei a composé son livre. Cent trente-cinq récits de rêves étranges ont été ici retenus : des histoires fantastiques de revenants, de morts temporaires, de descentes aux enfers, de réincarnations, d´ensorcellements, de possessions et de mystifications. Mais parmi les images de ce monde fabuleux, les réalités de la société du temps affleurent à tout moment, tandis que l´auteur énonce ouvertement à ce sujet, d´un ton léger, ses observations personnelles.


Contemporain d´un grand empereur de la dynastie des Qing, Yuan Mei (1716-1798) occupe une place originale dans l´histoire de ce brillant XVIIIe siècle. Ses audaces et ses provocations, sa conduite frivole et scandaleuse, sa liberté de pensée et l´invention géniale d´une nouvelle forme de poésie, plus naturelle et spontanée, ont valu à ce grand écrivain, à ce sybarite, une immense popularité, en même temps que l´exécration d´une partie de l´aristocratie lettrée.
En marge de ses travaux d´érudition, Yuan Mei s´inscrit dans la longue tradition de la littérature romanesque. Le titre sarcastique du présent recueil s´inspire d´une phrase célèbre des Entretiens de Confucius, ce Maître qui « ne parlait ni du fantastique, ni de la violence, ni du désordre, ni du surnaturel ». Or, c´est précisément d´une collection de contes qui contreviennent à ces exclusions que Yuan Mei a composé son livre. Cent trente-cinq récits de rêves étranges ont été ici retenus : des histoires fantastiques de revenants, de morts temporaires, de descentes aux enfers, de réincarnations, d´ensorcellements, de possessions et de mystifications. Mais parmi les images de ce monde fabuleux, les réalités de la société du temps affleurent à tout moment, tandis que l´auteur énonce ouvertement à ce sujet, d´un ton léger, ses observations personnelles.