
 
		C’est à  Antioche, quelques mois avant sa mort tragique, que l’Empereur Julien  (331-363) rédige un pamphlet Contre les Galiléens, qui dénonce avec  vigueur la prétention à l’universalité de la petite secte chrétienne.  Mais au-delà de la critique de cette nouvelle religion, c’est à une  véritable apologie du paganisme qu’il se livre. 
Il n’était alors pas  trop tard pour empêcher le triomphe annoncé du christianisme, mais le  règne de Julien fut beaucoup trop bref. S’il l’avait emporté, la face du  monde en eût été changée et il ne serait pas resté dans l’Histoire  comme l’Apostat... 
Rétrospectivement, ce texte apparaît donc comme  le chant du cygne de la religion grecque.

C’est à  Antioche, quelques mois avant sa mort tragique, que l’Empereur Julien  (331-363) rédige un pamphlet Contre les Galiléens, qui dénonce avec  vigueur la prétention à l’universalité de la petite secte chrétienne.  Mais au-delà de la critique de cette nouvelle religion, c’est à une  véritable apologie du paganisme qu’il se livre. 
Il n’était alors pas  trop tard pour empêcher le triomphe annoncé du christianisme, mais le  règne de Julien fut beaucoup trop bref. S’il l’avait emporté, la face du  monde en eût été changée et il ne serait pas resté dans l’Histoire  comme l’Apostat... 
Rétrospectivement, ce texte apparaît donc comme  le chant du cygne de la religion grecque.
