"La raison pour laquelle le monde manque d´unité et gît brisé et en morceaux, c´est que l´homme est séparé d´avec lui-même. Il ne peut étudier la nature tant qu´il ne satisfait pas à toutes les exigences de l´esprit. L´amour lui est aussi nécessaire que la faculté de percevoir. E ...lire la suite
De l´Europe napoléonienne à la révolution de 1848
Nouveau monde et nouvelle sensibilité
"On va vers ceux qui pleurent sottement, et on s´assoit pour pleurer avec eux, au lieu de leur apporter vérité et santé par de rudes secousses &eac ...lire la suite
Homme de lettres et philosophe non conformiste, réfractaire à l´emprise de l´état sur l´individu, mais aussi naturaliste précurseur de l´écologie, Henry D. Thoreau a régulièrement consigné ses pensées et ses notes de terrain un jo ...lire la suite
« Emerson a cette gaieté bienveillante et pleine d´esprit qui désarme le sérieux. Il ne se rend pas compte à quel point il est déjà vieux, à quel point il sera encore jeune à l´avenir... » (Nietzsche). Ralph Waldo Emerson (1803 ...lire la suite
« Qui décrira la douceur indicible et la vie immortelle de cette austère forêt, où la Nature, même au cœur de l´hiver, est toujours à son printemps, où les arbres couverts de mousse et en état de décomposition ne sont pas v ...lire la suite
Alors que nous célébrons cette année le bicentenaire de Henry David Thoreau, Michel Onfray publie un texte en forme de manifeste pour une « vie philosophique » libre, telle que l´émule et ami de Ralph Waldo Emerson l´a pratiquée, du côt&eacut ...lire la suite
Publié à l’occasion du 200e anniversaire de sa naissance, ce 12e volume de la collection « Ainsi parlait » est consacré à un personnage-clef de la contre-culture américaine : maître à penser de mai 1968 et de l&rsquo ...lire la suite
« On n’entre pas dans un livre d’Annie Dillard ; on y est accueilli. Avec simplicité, avec courtoisie, avec chaleur, avec le plus grand respect pour l’intelligence de “l’hôte de passage” qu’est le lecteur. Annie Dillard nous parle d&rsq ...lire la suite
En 1845, Henry David Thoreau part vivre dans une cabane construite de ses propres mains, au bord de l’étang de Walden, dans le Massachusetts. Là, au fond des bois, il mène pendant deux ans une vie frugale et autarcique, qui lui laisse tout le loisir de m&eacut ...lire la suite