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SEGOUIN Jérémie, traduction Le Galdrabok décrypté et autres secrets de magie runique Librairie Eklectic

Le Galdrabok décrypté et autres secrets de magie runique

Auteur : SEGOUIN Jérémie, traduction
Editeur : MONOLITHE Editions du
Nombre de pages : 234
Date de parution : 01/09/2020
Forme : Livre ISBN : 9782491760465
MONOLIT01

NEUF habituellement en stock
Prix : 30.00€

D´où viennent les anciens alphabets islandais des runes ? Quelles sont les significations des runes liées islandaises telles que l´Aegishjálmur et le Vegvísir ? Poursuivez votre lecture et découvrez les symboles de l´âge Viking islandais, leur fondement mythologique et leurs propriétés magiques.

Les runes sont les caractères qui composent les anciens systèmes d´écritures, appelés alphabets runiques, de différentes langues germaniques. Avant l´adoption de l´alphabet latin, les runes constituaient la principale forme d´écriture en Europe du Nord, de l´Ouest et en Europe centrale. Les origines exactes des runes sont discutées, mais les découvertes archéologiques runiques remontent à 150 AC. Les runologues croient que le système provient d´anciennes épigraphes en italique ancien, telles que le latin ancien ou l´alphabet raétique de Bolzano. À mesure que l´Europe se christianisait, l´alphabet latin commençait à s´imposer comme forme d´écriture dominante. En Europe centrale, ce changement s´est produit vers 700 après JC. Cependant, dans les pays nordiques, les runes étaient encore largement utilisées jusqu´en 1100 de notre ère et même plus longtemps à des fins spécifiques. Les runes constituent donc une partie intégrante et déterminante du patrimoine et de la culture nordique.

 

*** Table des Matières (Partie I) / Notes d´Introduction. / A Propos du Galdrabók. / A Propos des Runes. / ´Rune´ : Étymologie. / Les différents noms des Runes. / Les différents types de Futhark. / Le Futhark ancien. / Le Futhark récent. / Les Runes du Hälsingland. / Les Runes Médiévales. / Le Futhorc Anglo-Saxon. / Les Runes Northumbriennes. / Les Runes Médiévales de guérison et de magie. / Les Runes Marcomanniques. / Les Runes Armanistes. / Noms des Runes : Futhark Ancien et Futhark Récent. / Les 3 Familles de Runes. / La Division Temporelle du Futhark. / La Division Zodiacale du Futhark. / *** Table des Matières (Partie II) / Galdrabók: Fac-similé Couleur. / Galdrabók : Traduction et Retranscription. / Galdrabók : Notes. / Le Galdrastafir. / L´Ægishjálmur. / Le Vegvísir. / *** Table des Matières (Partie III) / Addendum I - Secrets des Runes liées. / Addendum II - Le Sentier Spirituel Runique. / Addendum III - Interprétations Divinatoires Runiques. / Addendum IV - Le Dragon Runique. / Addendum V - Glossaire Linguistique. / Sources. / Sources Internet. / MSs Sources. / Illustration : Cloche de l´église de Saleby ***

 

Les écrits runiques ont été importés en Islande par les premiers colons du pays et sont restés dans le pays, sous une forme ou une autre. Plus qu´un simple système d´écriture, la pratique des runes est reliée à la magie et au mystère.. Voyons maintenant l´histoire des runes, leurs multiples utilisations et leur enracinement dans la mythologie et le folklore Nordique.

Le Galdrabók est un grimoire Islandais datant d´environ 1600. Il s´agit d´un petit manuscrit contenant une collection de 47 sortilèges et Sceaux, compilés sur parchemin. Le manuscrit ne représente pas une composition complète, mais plutôt une collection de sortilèges, plus ou moins écrits aléatoirement. Le grimoire a été compilé par quatre auteurs différents, probablement à partir de la fin du XVIe siècle et jusqu´au milieu du XVIIe siècle. Les trois premiers scribes étaient des Islandais, et le quatrième était un Danois travaillant à partir de matériel islandais. Le premier magicien, qui travailla en Islande durant la seconde moitié du XVIe siècle, écrivit les sortilèges 1-10. Peu de temps après, il fut transmis à un autre Islandais, qui y ajouta les sortilèges 11-39. Un peu plus tard, un troisième scribe islandais entra en possession du livre et y ajouta les sortilèges 40-44. Après quoi, le livre fut emmené au Danemark, où il tomba entre les mains d´un magicien danois qui ajouta les sortilèges, commençant avec la dernière section de 44 à 47. Les différents sortilèges se composent de matériel latin et runique ainsi que de bâtons magiques islandais (Galdrastafur), d´invocations aux entités chrétiennes, aux démons et aux dieux nordiques, ainsi que des instructions pour l´utilisation des herbes et des objets magiques. Certains sortilèges sont protecteurs, destinés à prévenir des problèmes tels que les soucis de procréation, les maux de tête et l´insomnie, tandis que d´autres sortilèges et incantations provoquent la peste, la souffrance et la détresse en mer. D´autres encore sont destinés à faire peur, pour trouver des voleurs, pour endormir quelqu´un, ou bien encore pour ensorceler..

 


D´où viennent les anciens alphabets islandais des runes ? Quelles sont les significations des runes liées islandaises telles que l´Aegishjálmur et le Vegvísir ? Poursuivez votre lecture et découvrez les symboles de l´âge Viking islandais, leur fondement mythologique et leurs propriétés magiques.

Les runes sont les caractères qui composent les anciens systèmes d´écritures, appelés alphabets runiques, de différentes langues germaniques. Avant l´adoption de l´alphabet latin, les runes constituaient la principale forme d´écriture en Europe du Nord, de l´Ouest et en Europe centrale. Les origines exactes des runes sont discutées, mais les découvertes archéologiques runiques remontent à 150 AC. Les runologues croient que le système provient d´anciennes épigraphes en italique ancien, telles que le latin ancien ou l´alphabet raétique de Bolzano. À mesure que l´Europe se christianisait, l´alphabet latin commençait à s´imposer comme forme d´écriture dominante. En Europe centrale, ce changement s´est produit vers 700 après JC. Cependant, dans les pays nordiques, les runes étaient encore largement utilisées jusqu´en 1100 de notre ère et même plus longtemps à des fins spécifiques. Les runes constituent donc une partie intégrante et déterminante du patrimoine et de la culture nordique.

 

*** Table des Matières (Partie I) / Notes d´Introduction. / A Propos du Galdrabók. / A Propos des Runes. / ´Rune´ : Étymologie. / Les différents noms des Runes. / Les différents types de Futhark. / Le Futhark ancien. / Le Futhark récent. / Les Runes du Hälsingland. / Les Runes Médiévales. / Le Futhorc Anglo-Saxon. / Les Runes Northumbriennes. / Les Runes Médiévales de guérison et de magie. / Les Runes Marcomanniques. / Les Runes Armanistes. / Noms des Runes : Futhark Ancien et Futhark Récent. / Les 3 Familles de Runes. / La Division Temporelle du Futhark. / La Division Zodiacale du Futhark. / *** Table des Matières (Partie II) / Galdrabók: Fac-similé Couleur. / Galdrabók : Traduction et Retranscription. / Galdrabók : Notes. / Le Galdrastafir. / L´Ægishjálmur. / Le Vegvísir. / *** Table des Matières (Partie III) / Addendum I - Secrets des Runes liées. / Addendum II - Le Sentier Spirituel Runique. / Addendum III - Interprétations Divinatoires Runiques. / Addendum IV - Le Dragon Runique. / Addendum V - Glossaire Linguistique. / Sources. / Sources Internet. / MSs Sources. / Illustration : Cloche de l´église de Saleby ***

 

Les écrits runiques ont été importés en Islande par les premiers colons du pays et sont restés dans le pays, sous une forme ou une autre. Plus qu´un simple système d´écriture, la pratique des runes est reliée à la magie et au mystère.. Voyons maintenant l´histoire des runes, leurs multiples utilisations et leur enracinement dans la mythologie et le folklore Nordique.

Le Galdrabók est un grimoire Islandais datant d´environ 1600. Il s´agit d´un petit manuscrit contenant une collection de 47 sortilèges et Sceaux, compilés sur parchemin. Le manuscrit ne représente pas une composition complète, mais plutôt une collection de sortilèges, plus ou moins écrits aléatoirement. Le grimoire a été compilé par quatre auteurs différents, probablement à partir de la fin du XVIe siècle et jusqu´au milieu du XVIIe siècle. Les trois premiers scribes étaient des Islandais, et le quatrième était un Danois travaillant à partir de matériel islandais. Le premier magicien, qui travailla en Islande durant la seconde moitié du XVIe siècle, écrivit les sortilèges 1-10. Peu de temps après, il fut transmis à un autre Islandais, qui y ajouta les sortilèges 11-39. Un peu plus tard, un troisième scribe islandais entra en possession du livre et y ajouta les sortilèges 40-44. Après quoi, le livre fut emmené au Danemark, où il tomba entre les mains d´un magicien danois qui ajouta les sortilèges, commençant avec la dernière section de 44 à 47. Les différents sortilèges se composent de matériel latin et runique ainsi que de bâtons magiques islandais (Galdrastafur), d´invocations aux entités chrétiennes, aux démons et aux dieux nordiques, ainsi que des instructions pour l´utilisation des herbes et des objets magiques. Certains sortilèges sont protecteurs, destinés à prévenir des problèmes tels que les soucis de procréation, les maux de tête et l´insomnie, tandis que d´autres sortilèges et incantations provoquent la peste, la souffrance et la détresse en mer. D´autres encore sont destinés à faire peur, pour trouver des voleurs, pour endormir quelqu´un, ou bien encore pour ensorceler..