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FERRATON Jean-François - Lyonnais la clef des arts Rites et mystères chrétiens des Compagnonnages Librairie Eklectic

Rites et mystères chrétiens des Compagnonnages

Auteur : FERRATON Jean-François - Lyonnais la clef des arts
Editeur : CERF
Nombre de pages : 272
Date de parution : 12/10/2016
Forme : Livre Gd format ISBN : 9782204114752
CERF979

NEUF habituellement en stock
Prix : 45.00€

En 2010, les Compagnonnages français se sont vus honorés par l’UNESCO d’une reconnaissance internationale au titre du patrimoine culturel immatériel de l’humanité car ils incarnent une organisation originale, multiséculaire, fondée sur la « transmission des savoirs et des identités par le métier ».

Leurs méthodes de transmission ont été considérées autant pour la pédagogie spécifique de l’itinérance que pour les rites initiatiques de passage, comme l’admission* et la réception*. Mais, paradoxalement, la réalité spirituelle véhiculée par ces rites pose aujourd’hui question à la nouvelle génération de Compagnons. Dans leur imaginaire, ceux-ci se voient comme les descendants des constructeurs de cathédrales, mais ils ont très peu d’outils pour explorer ce que recèle une telle identification. Comme lieu naturel de symbolisation pour les Compagnonnages, la cathédrale est interprétée dans cette étude comme continuité du Temple de Salomon, l’archétype majeur. Le passage de l’un à l’autre constitue une clef importante pour la compréhension des rites. 

Par ailleurs, le déchiffrement des légendaires des fondateurs mythiques que sont Salomon, Maître Jacques et le Père Soubise pose de nombreux problèmes. Le sujet est en effet difficile. Il fallait donc l’aborder, l’analyser, l’illustrer pour le remettre dans une perspective qui renouvelle la manière de l’envisager pour des Compagnons d’aujourd’hui. Ceux-ci sont immergés dans la réalité des métiers avec les nécessaires adaptations à notre époque et, simultanément, ils préservent les invariants d’une tradition qui façonne le cœur et l’intelligence de l’homme. Ce n’est pas sans difficulté. 

Eclairer les racines chrétiennes des Compagnonnages permet par ailleurs de comprendre certains aspects profonds de leur singularité. Ces racines justifient également la permanence de rites essentiels à leur identité.


En 2010, les Compagnonnages français se sont vus honorés par l’UNESCO d’une reconnaissance internationale au titre du patrimoine culturel immatériel de l’humanité car ils incarnent une organisation originale, multiséculaire, fondée sur la « transmission des savoirs et des identités par le métier ».

Leurs méthodes de transmission ont été considérées autant pour la pédagogie spécifique de l’itinérance que pour les rites initiatiques de passage, comme l’admission* et la réception*. Mais, paradoxalement, la réalité spirituelle véhiculée par ces rites pose aujourd’hui question à la nouvelle génération de Compagnons. Dans leur imaginaire, ceux-ci se voient comme les descendants des constructeurs de cathédrales, mais ils ont très peu d’outils pour explorer ce que recèle une telle identification. Comme lieu naturel de symbolisation pour les Compagnonnages, la cathédrale est interprétée dans cette étude comme continuité du Temple de Salomon, l’archétype majeur. Le passage de l’un à l’autre constitue une clef importante pour la compréhension des rites. 

Par ailleurs, le déchiffrement des légendaires des fondateurs mythiques que sont Salomon, Maître Jacques et le Père Soubise pose de nombreux problèmes. Le sujet est en effet difficile. Il fallait donc l’aborder, l’analyser, l’illustrer pour le remettre dans une perspective qui renouvelle la manière de l’envisager pour des Compagnons d’aujourd’hui. Ceux-ci sont immergés dans la réalité des métiers avec les nécessaires adaptations à notre époque et, simultanément, ils préservent les invariants d’une tradition qui façonne le cœur et l’intelligence de l’homme. Ce n’est pas sans difficulté. 

Eclairer les racines chrétiennes des Compagnonnages permet par ailleurs de comprendre certains aspects profonds de leur singularité. Ces racines justifient également la permanence de rites essentiels à leur identité.