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Theologia Germanica. Livre d´Or de la théosophie mystique du chevalier du Temple (XIVe s.) (+ textes inédits de Paracelse et Valentin Weigel)

Auteur : Anonyme
Editeur : CLARA FAMA
Nombre de pages : 0
Date de parution : 27/05/2019
Forme : Livre ISBN : 9782917794234
CLARA07

EPUISE

La Theologia Germanica, traduite ici pour la première fois en français moderne, est un traité mystique répertorié comme écrit anonyme datant du 14ème siècle. Lorsque Martin Luther en reçut le manuscrit, sa fascination fut telle qu´il le décrivit comme une véritable « théologieallemande » (« Theologia Germanica ») ; c´est donc sous ce titre qu´il le fit imprimer pour la première fois en 1516, avec ce commentaire :

« Je déclare qu´après la Bible, je n´ai point rencontré de livre d´où je reconnaisse avoir mieux appris ce que c´est que Dieu, Christ, l´homme et toutes choses ».

Pour les raisons expliquées dans la préface de la présente version française, le traducteur soutient l´hypothèse selon laquelle ce document trouverait sa source dans un cercle intérieur ayant existé au sein de l´Ordre du Temple. Il lui a également semblé utile d´y ajouter un commentaire de Valentin Weigel (1533-1588), ainsi que la Theologia Cabalistica de Paracelse (1493-1541), traduits en français pour la première fois depuis 400 ans. Ces textes font notamment partie d´un recueil que l´on doit à Adam Haselmayer, dont le nom et les écrits sont liés à l´édition, en 1614, du premier Manifeste Rosicrucien intitulé Fama Fraternitatis Rosae Crucis. Haselmayer fut un fervent partisan des idées proposées par les Rose-Croix. Peut-être même fut-il l´un d´eux ?

 


La Theologia Germanica, traduite ici pour la première fois en français moderne, est un traité mystique répertorié comme écrit anonyme datant du 14ème siècle. Lorsque Martin Luther en reçut le manuscrit, sa fascination fut telle qu´il le décrivit comme une véritable « théologieallemande » (« Theologia Germanica ») ; c´est donc sous ce titre qu´il le fit imprimer pour la première fois en 1516, avec ce commentaire :

« Je déclare qu´après la Bible, je n´ai point rencontré de livre d´où je reconnaisse avoir mieux appris ce que c´est que Dieu, Christ, l´homme et toutes choses ».

Pour les raisons expliquées dans la préface de la présente version française, le traducteur soutient l´hypothèse selon laquelle ce document trouverait sa source dans un cercle intérieur ayant existé au sein de l´Ordre du Temple. Il lui a également semblé utile d´y ajouter un commentaire de Valentin Weigel (1533-1588), ainsi que la Theologia Cabalistica de Paracelse (1493-1541), traduits en français pour la première fois depuis 400 ans. Ces textes font notamment partie d´un recueil que l´on doit à Adam Haselmayer, dont le nom et les écrits sont liés à l´édition, en 1614, du premier Manifeste Rosicrucien intitulé Fama Fraternitatis Rosae Crucis. Haselmayer fut un fervent partisan des idées proposées par les Rose-Croix. Peut-être même fut-il l´un d´eux ?