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DEROSNE Bernard L´Art Royal et Sacerdotal. Arche Royale, Divine Comédie, Alchimie. Librairie Eklectic

L´Art Royal et Sacerdotal. Arche Royale, Divine Comédie, Alchimie.

Auteur : DEROSNE Bernard
Editeur : DB
Nombre de pages : 300
Date de parution : 01/08/2016
Forme : Livre ISBN : 9782746692145
DB01

NEUF habituellement en stock
Prix : 29.00€

Il est question dans cet ouvrage de l’Initiation, érigée en Art, selon une hiérarchie qui conduit des « petits mystères » – Art Royal – de la maçonnerie des loges bleues, aux « grands mystères » – Art sacerdotal – des hauts-grades : l’Arche Royale et la Chevalerie.

Cette initiation était liée au moyen-âge à l’art de bâtir ; elle permettait au maçon opératif de progresser dans une voie qui était autant professionnelle, intellectuelle que spirituelle ; les qualités nécessaires à la construction des cathédrales en est une confirmation. Depuis, la franc-maçonnerie est devenue « spéculative », en s’appuyant toutefois toujours sur les symboles de l’art de « construire » ou de « reconstruire ».

L’équerre et le compas sont les outils emblématiques de la maçonnerie, ils représentent l’une des trois grandes lumières de la maçonnerie, car le premier est l’outil des « petits mystères », et le second celui des « grands mystères », l’un supporte et l’autre couvre. Ils sont présentés au candidat dès son initiation, mais la signification de leur symbolisme ne lui est révélée que progressivement.

Le temple ou la cathédrale, représente le candidat lui-même qui par l’initiation est conduit sur une voie destinée à provoquer, par un travail sur lui-même, une modification fondamentale de sa pensée, de son être, et de sa vie.

Les épreuves et les récompenses qui l’attendent sur cette voie difficile sont décrites dans l’oeuvre magistrale d’Alighieri, la Divine Comédie, qui fait l’objet ici d’un décryptage inédit du parcours de Dante à travers les Enfers, le Purgatoire et le Paradis.

Enfin, l’Alchimie qui est l’Art suprême peut, par la mise en oeuvre de l’Opus, permettre « de délivrer l’esprit par la matière, et la matière par l’esprit ».


Il est question dans cet ouvrage de l’Initiation, érigée en Art, selon une hiérarchie qui conduit des « petits mystères » – Art Royal – de la maçonnerie des loges bleues, aux « grands mystères » – Art sacerdotal – des hauts-grades : l’Arche Royale et la Chevalerie.

Cette initiation était liée au moyen-âge à l’art de bâtir ; elle permettait au maçon opératif de progresser dans une voie qui était autant professionnelle, intellectuelle que spirituelle ; les qualités nécessaires à la construction des cathédrales en est une confirmation. Depuis, la franc-maçonnerie est devenue « spéculative », en s’appuyant toutefois toujours sur les symboles de l’art de « construire » ou de « reconstruire ».

L’équerre et le compas sont les outils emblématiques de la maçonnerie, ils représentent l’une des trois grandes lumières de la maçonnerie, car le premier est l’outil des « petits mystères », et le second celui des « grands mystères », l’un supporte et l’autre couvre. Ils sont présentés au candidat dès son initiation, mais la signification de leur symbolisme ne lui est révélée que progressivement.

Le temple ou la cathédrale, représente le candidat lui-même qui par l’initiation est conduit sur une voie destinée à provoquer, par un travail sur lui-même, une modification fondamentale de sa pensée, de son être, et de sa vie.

Les épreuves et les récompenses qui l’attendent sur cette voie difficile sont décrites dans l’oeuvre magistrale d’Alighieri, la Divine Comédie, qui fait l’objet ici d’un décryptage inédit du parcours de Dante à travers les Enfers, le Purgatoire et le Paradis.

Enfin, l’Alchimie qui est l’Art suprême peut, par la mise en oeuvre de l’Opus, permettre « de délivrer l’esprit par la matière, et la matière par l’esprit ».