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De l´art chimique. Introduction, traduction et notes de Hélène Feye.

Auteur : AGRIPPA Henri Corneille
Editeur : BEYA         collection : Améthyste
Nombre de pages : 111
Date de parution : 11/07/2023
Forme : Livre ISBN : 9782930729251
BEYA37

NEUF habituellement en stock
Prix : 20.00€

Henri-Corneille Agrippa (1486 - 1535) est un médecin, philosophe et alchimiste allemand. Ce célèbre érudit doit sa notoriété surtout au De occulta philosophia. Il a bénéficié de la protection des grands hommes et de l´admiration de quelques disciples. Mais, à l´instar de son contemporain, Paracelse, il fut aussi décrié et ardemment combattu par des ennemis tenaces. La postérité s´est bornée à entretenir, jusqu´il y a peu, sa réputation tout à fait injustifiée de sorcier ou de charlatan.
Traité qui a été imprimé pour la première fois, en latin, en 1572 à Bâle chez Pierre Perna.


INTRODUCTION ............................................................................ 9

Chapitre I
De la génération des métaux dans les viscères de la terre. .............................. 19

Chapitre II
De la nature et de l´art. ............................................................... 19

Chapitre III
Ce chapitre réfute l´opinion de certains dans cet art, et expose l´art philosophique
en peu de mots. ......................................................................... 21

Chapitre IV
On y expose pourquoi les philosophes ont cherché cet art, ce qui les y a poussés,
et on dénoue la question suivante : Pour quelle raison l´esprit inclus dans les
métaux ne peut pas propager son semblable, puisque l´esprit de toute chose est
auteur de génération ? .................................................................. 22

Chapitre V
Ce chapitre examine ce qu´est la pierre des philosophes et traite
d´abord de sa première partie. .......................................................... 24

Chapitre VI
Ce chapitre traite de la seconde partie de la pierre, où le mercure est comparé
à la très glorieuse divine Vierge Marie. ................................................ 26

Chapitre VII
Ce chapitre précise pour quelle raison les philosophes ont caché cette science
expérimentée ; on y fait l´éloge de l´art, et on invective le détracteur
des philosophes, Zoïle. ................................................................. 28

Chapitre VIII
Les chapitres VIII et IX traitent de la première essence de toutes choses,
et on discute sur ce qu´est la nature, l´âme nature moyenne, et l´âme du monde.
On y réfute cette très grande erreur des philosophes selon laquelle le monde
serait animal ; on y démontre qu´il y a seulement une âme humaine et que par la
participation de celle-ci semble exister l´âme brutale, et que le soleil est l´oeil
du monde et le coeur du ciel. ........................................................... 33

Chapitre IX
De la nature. ........................................................................... 41

Chapitre X
Ce que les philosophes ont recherché, et quelle en est la nature ;
on décrit l´esprit comme le char éthéré de l´âme. ....................................... 50

Chapitre XI
Ce chapitre enseigne la nécessité de la solution,
par laquelle l´esprit génératif est tiré du corps. ...................................... 51

Chapitre XII
Ce chapitre traite des choses cachées dans l´art et de la triple séparation. ............ 53

Chapitre XIII
Ce chapitre traite de la pratique de la pierre, de sa première solution et séparation ;
ce secret de la nature, du reste très difficile à pénétrer, y est mis en lumière pour
le fils de la sagesse ; c´est là que Lucifer tombe du ciel. ............................. 55

Chapitre XIV
Ce chapitre traite de la seconde partie de la pratique ;
on y tient une discussion plus secrète sur le feu et les couleurs,
et on y résout les questions suivantes : Est-ce le ciel qui doit descendre vers la terre,
ou la terre qui doit monter au ciel ? L´esprit doit-il passer dans le ciel avec l´âme
ou bien les deux doivent-ils rester au-dessous du ciel ? L´esprit,
qui semble descendre dans le corps avec l´âme humaine, y est comparé à un ange. ......... 59

Chapitre XV
Ce chapitre commente la proposition suivante : Dans l´ombre du soleil est la chaleur
de la lune, et dans la chaleur de la lune est la froidure du soleil ;
il explique de même, la manière de savoir, dans la lune, quand le soleil doit luire ;
ce qu´est l´ombre du soleil et de la lune ; et qu´il est nécessaire d´unir le soleil
et la lune et, semblablement, le ciel et la terre.
Et il fait mention de l´aurore citrine. ................................................. 65

Chapitre XVI
Ce chapitre traite de l´augmentation de la pierre, selon l´opinion
tantôt des philosophes antiques, tantôt des philosophes modernes.
Et on y induit qu´il y a seulement un seul jour et une seule nuit ;
et qu´il y a sept jours provenant des sept maîtres du monde. ............................ 68

Chapitre XVII
Ce chapitre explique quelques propositions obscures qui se trouvent
dans les livres des philosophes qui traitent de ce sujet. ............................... 72

Chapitre XVIII
Ce chapitre montre que la pierre a la puissance de soigner toutes les maladies
puisque toute la nature se trouve dans le soleil et le soleil dans la nature,
et surtout dans la pierre. .............................................................. 79

Chapitre XIX
Ce chapitre reprend la pratique philosophique ; toute cette expérience divine
de la pierre y est tissée et retissée en courtes sentences. ............................. 81

Chapitre XX
Ce chapitre présente les questions posées au diable par le nécromancien Illardus
au sujet de la pierre des philosophes. .................................................. 83

ANNEXE : EXTRAITS DE LA CORRESPONDANCE D´HENRI-CORNEILLE AGRIPPA

II
À l´honorable Père Jean Trithème, abbé de Saint-Jacques, dans le faubourg de Würzbourg,
Henri-Corneille Agrippa souhaite bonheur et salut. ...................................... 89

III
Jean Trithème, abbé de Saint-Jacques, à Würzbourg, offre ses compliments
amicaux à Henri-Corneille Agrippa de Nettesheim. ........................................ 92

X
Agrippa à un ami. ....................................................................... 94

 

Henri-Corneille Agrippa (1486 - 1535) est un médecin, philosophe et alchimiste allemand. Ce célèbre érudit doit sa notoriété surtout au De occulta philosophia. Il a bénéficié de la protection des grands hommes et de l´admiration de quelques disciples. Mais, à l´instar de son contemporain, Paracelse, il fut aussi décrié et ardemment combattu par des ennemis tenaces. La postérité s´est bornée à entretenir, jusqu´il y a peu, sa réputation tout à fait injustifiée de sorcier ou de charlatan.
Traité qui a été imprimé pour la première fois, en latin, en 1572 à Bâle chez Pierre Perna.


INTRODUCTION ............................................................................ 9

Chapitre I
De la génération des métaux dans les viscères de la terre. .............................. 19

Chapitre II
De la nature et de l´art. ............................................................... 19

Chapitre III
Ce chapitre réfute l´opinion de certains dans cet art, et expose l´art philosophique
en peu de mots. ......................................................................... 21

Chapitre IV
On y expose pourquoi les philosophes ont cherché cet art, ce qui les y a poussés,
et on dénoue la question suivante : Pour quelle raison l´esprit inclus dans les
métaux ne peut pas propager son semblable, puisque l´esprit de toute chose est
auteur de génération ? .................................................................. 22

Chapitre V
Ce chapitre examine ce qu´est la pierre des philosophes et traite
d´abord de sa première partie. .......................................................... 24

Chapitre VI
Ce chapitre traite de la seconde partie de la pierre, où le mercure est comparé
à la très glorieuse divine Vierge Marie. ................................................ 26

Chapitre VII
Ce chapitre précise pour quelle raison les philosophes ont caché cette science
expérimentée ; on y fait l´éloge de l´art, et on invective le détracteur
des philosophes, Zoïle. ................................................................. 28

Chapitre VIII
Les chapitres VIII et IX traitent de la première essence de toutes choses,
et on discute sur ce qu´est la nature, l´âme nature moyenne, et l´âme du monde.
On y réfute cette très grande erreur des philosophes selon laquelle le monde
serait animal ; on y démontre qu´il y a seulement une âme humaine et que par la
participation de celle-ci semble exister l´âme brutale, et que le soleil est l´oeil
du monde et le coeur du ciel. ........................................................... 33

Chapitre IX
De la nature. ........................................................................... 41

Chapitre X
Ce que les philosophes ont recherché, et quelle en est la nature ;
on décrit l´esprit comme le char éthéré de l´âme. ....................................... 50

Chapitre XI
Ce chapitre enseigne la nécessité de la solution,
par laquelle l´esprit génératif est tiré du corps. ...................................... 51

Chapitre XII
Ce chapitre traite des choses cachées dans l´art et de la triple séparation. ............ 53

Chapitre XIII
Ce chapitre traite de la pratique de la pierre, de sa première solution et séparation ;
ce secret de la nature, du reste très difficile à pénétrer, y est mis en lumière pour
le fils de la sagesse ; c´est là que Lucifer tombe du ciel. ............................. 55

Chapitre XIV
Ce chapitre traite de la seconde partie de la pratique ;
on y tient une discussion plus secrète sur le feu et les couleurs,
et on y résout les questions suivantes : Est-ce le ciel qui doit descendre vers la terre,
ou la terre qui doit monter au ciel ? L´esprit doit-il passer dans le ciel avec l´âme
ou bien les deux doivent-ils rester au-dessous du ciel ? L´esprit,
qui semble descendre dans le corps avec l´âme humaine, y est comparé à un ange. ......... 59

Chapitre XV
Ce chapitre commente la proposition suivante : Dans l´ombre du soleil est la chaleur
de la lune, et dans la chaleur de la lune est la froidure du soleil ;
il explique de même, la manière de savoir, dans la lune, quand le soleil doit luire ;
ce qu´est l´ombre du soleil et de la lune ; et qu´il est nécessaire d´unir le soleil
et la lune et, semblablement, le ciel et la terre.
Et il fait mention de l´aurore citrine. ................................................. 65

Chapitre XVI
Ce chapitre traite de l´augmentation de la pierre, selon l´opinion
tantôt des philosophes antiques, tantôt des philosophes modernes.
Et on y induit qu´il y a seulement un seul jour et une seule nuit ;
et qu´il y a sept jours provenant des sept maîtres du monde. ............................ 68

Chapitre XVII
Ce chapitre explique quelques propositions obscures qui se trouvent
dans les livres des philosophes qui traitent de ce sujet. ............................... 72

Chapitre XVIII
Ce chapitre montre que la pierre a la puissance de soigner toutes les maladies
puisque toute la nature se trouve dans le soleil et le soleil dans la nature,
et surtout dans la pierre. .............................................................. 79

Chapitre XIX
Ce chapitre reprend la pratique philosophique ; toute cette expérience divine
de la pierre y est tissée et retissée en courtes sentences. ............................. 81

Chapitre XX
Ce chapitre présente les questions posées au diable par le nécromancien Illardus
au sujet de la pierre des philosophes. .................................................. 83

ANNEXE : EXTRAITS DE LA CORRESPONDANCE D´HENRI-CORNEILLE AGRIPPA

II
À l´honorable Père Jean Trithème, abbé de Saint-Jacques, dans le faubourg de Würzbourg,
Henri-Corneille Agrippa souhaite bonheur et salut. ...................................... 89

III
Jean Trithème, abbé de Saint-Jacques, à Würzbourg, offre ses compliments
amicaux à Henri-Corneille Agrippa de Nettesheim. ........................................ 92

X
Agrippa à un ami. ....................................................................... 94