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EVOLA Julius Le mythe du sang & Synthèse de doctrine de la race Librairie Eklectic

Le mythe du sang & Synthèse de doctrine de la race

Auteur : EVOLA Julius
Editeur : Omnia Veritas
Nombre de pages : 350
Date de parution : 15/07/2019
Forme : Livre ISBN : 9781913057039
OMNIA28

NEUF habituellement en stock
Prix : 25.00€

La théorie et le concept même de la race peuvent s´entendre de trois façons : par rapport à une réalité, à un certain ordre de connaissances scientifiques et, enfin, à un « mythe ». Dans sa première acception, la conscience de la valeur de la race se révèle dans un ensemble de normes que l´on peut retrouver dans les anciennes civilisations, surtout là où furent en vigueur le système des castes et la loi de l´endogamie, normes qui se sont maintenues en partie jusqu´à une époque relativement récente dans les traditions de l´aristocratie. Ce fut là un racisme non théorisé, mais vécu. C´est pourquoi il est fort rare de rencontrer le mot de « race » dans le monde antique : on n´éprouvait pas le besoin de parler de race dans le sens moderne, parce qu´on en avait. Ce qui importait le plus, pour ainsi dire, c´étaient les forces mystiques qui étaient à l´origine des forces du sang et de la gens : comme dans les cultes patriciens romains et, en général, aryens, des lares, des pénates et des héros fondateurs. On sentait cependant très clairement la nécessité de préserver le sang, de maintenir et de transmettre dans son intégrité un patrimoine précieux et irremplaçable lié au sang.


La théorie et le concept même de la race peuvent s´entendre de trois façons : par rapport à une réalité, à un certain ordre de connaissances scientifiques et, enfin, à un « mythe ». Dans sa première acception, la conscience de la valeur de la race se révèle dans un ensemble de normes que l´on peut retrouver dans les anciennes civilisations, surtout là où furent en vigueur le système des castes et la loi de l´endogamie, normes qui se sont maintenues en partie jusqu´à une époque relativement récente dans les traditions de l´aristocratie. Ce fut là un racisme non théorisé, mais vécu. C´est pourquoi il est fort rare de rencontrer le mot de « race » dans le monde antique : on n´éprouvait pas le besoin de parler de race dans le sens moderne, parce qu´on en avait. Ce qui importait le plus, pour ainsi dire, c´étaient les forces mystiques qui étaient à l´origine des forces du sang et de la gens : comme dans les cultes patriciens romains et, en général, aryens, des lares, des pénates et des héros fondateurs. On sentait cependant très clairement la nécessité de préserver le sang, de maintenir et de transmettre dans son intégrité un patrimoine précieux et irremplaçable lié au sang.