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L´Enseignement de Mâ Ananda Moyî

Auteur : MA ANANDA MOYI
Editeur : ALBIN MICHEL         collection : SPIRITUALITES VIVANTES
Nombre de pages : 0
Date de parution : 04/02/2004
Forme : Livre de poche ISBN : 9782226151780
SV209

NEUF habituellement en stock
Prix : 11.00€

"La femme que toute l´Inde a connue sous le nom de Mâ Ananda Moyî, ou plus simplement de "" Mâ "", est née le 30 avril 1896 à Tripurc petit village du Bangla Desh. Ses parents, parmi une population majorité musulmane, sont de grands adorateurs de Shiva. Très tôt "" Mâ "", fait preuve d´une extraordinaire volonté d´ascèse. Les gens commencent à venir, de plus en plus nombreux, voir et vénérer cette femme qui se considère à la fois comme chrétienne, musulmane, hidoue, ""tout ce que vous voudrez"". À partir de 1925, elle paraît en public au cours de cérémonies religieuses. Depuis lors, sa réputation ne cesse de grandir. Chefs d´État, hommes de science, sanskritistes, artistes, moines, hommes et femmes de toutes religions viennent des quatre coins du monde lui demander conseil et recueillir son enseignement.
Lorsque l´on voyait le visage rayonnant de Mâ Ananda Moyi, on devinait qu´elle était l´incarnation de la Joie. Lorsque l´on recevait la caresse de son regard, on savait que son coeur débordait d´Amour. Lorsque l´on écoutait son enseignement simple et clair, on comprenait qu´elle possédait toute Sagesse. Mais on ne pouvait dire si son enseignement reposait sur la Joie, sur l´Amour ou sur la Sagesse, car chez elle les trois étaient inextricablement, indissolublement mêlés, et n´exis taient pas l´un sans l´autre.
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Mâ Ananda Moyî (1896-1982) fut certainement, en Inde, la femme la plus vénérée du XXe siècle. Dès sa petite enfance, elle fut considérée dans son Bengale natal comme un être extraordinairement lumineux. Puis, très vite, des milliers, des millions de personnes vinrent recevoir auprès d´elle la bénédiction du darshan, du contact transfigurateur avec le maître spirituel.
Son enseignement le plus souvent silencieux ne se référait à aucun dogme, et son rayonnement s´étendait bien au-delà des différentes écoles de l´hindouisme. La Joie transmise par
« Mâ » s´apparentait à la Félicité ineffable qu´ont évoquée les grands mystiques, et qui plonge ses racines dans l´intuition de la non-dualité."


"La femme que toute l´Inde a connue sous le nom de Mâ Ananda Moyî, ou plus simplement de "" Mâ "", est née le 30 avril 1896 à Tripurc petit village du Bangla Desh. Ses parents, parmi une population majorité musulmane, sont de grands adorateurs de Shiva. Très tôt "" Mâ "", fait preuve d´une extraordinaire volonté d´ascèse. Les gens commencent à venir, de plus en plus nombreux, voir et vénérer cette femme qui se considère à la fois comme chrétienne, musulmane, hidoue, ""tout ce que vous voudrez"". À partir de 1925, elle paraît en public au cours de cérémonies religieuses. Depuis lors, sa réputation ne cesse de grandir. Chefs d´État, hommes de science, sanskritistes, artistes, moines, hommes et femmes de toutes religions viennent des quatre coins du monde lui demander conseil et recueillir son enseignement.
Lorsque l´on voyait le visage rayonnant de Mâ Ananda Moyi, on devinait qu´elle était l´incarnation de la Joie. Lorsque l´on recevait la caresse de son regard, on savait que son coeur débordait d´Amour. Lorsque l´on écoutait son enseignement simple et clair, on comprenait qu´elle possédait toute Sagesse. Mais on ne pouvait dire si son enseignement reposait sur la Joie, sur l´Amour ou sur la Sagesse, car chez elle les trois étaient inextricablement, indissolublement mêlés, et n´exis taient pas l´un sans l´autre.
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Mâ Ananda Moyî (1896-1982) fut certainement, en Inde, la femme la plus vénérée du XXe siècle. Dès sa petite enfance, elle fut considérée dans son Bengale natal comme un être extraordinairement lumineux. Puis, très vite, des milliers, des millions de personnes vinrent recevoir auprès d´elle la bénédiction du darshan, du contact transfigurateur avec le maître spirituel.
Son enseignement le plus souvent silencieux ne se référait à aucun dogme, et son rayonnement s´étendait bien au-delà des différentes écoles de l´hindouisme. La Joie transmise par
« Mâ » s´apparentait à la Félicité ineffable qu´ont évoquée les grands mystiques, et qui plonge ses racines dans l´intuition de la non-dualité."