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Philosophia naturalis ou de l´intelligence du monde

Auteur : POLASTRON Lucien X.
Editeur : KLINCKSIECK         collection : De Natura Rerum
Nombre de pages : 184
Date de parution : 16/01/2018
Forme : Livre de poche ISBN : 9782252041116
KLIN31

NEUF habituellement en stock
Prix : 17.00€

« Au gré des rangements à perte de vue de ma bibliothèque, j´ai fini par mettre ensemble Héraclite, Zhuangzi, Goethe, Nietzsche, Thoreau, Bachelard et Rimbaud. Leur point commun, c´est la compréhension (« prendre avec ») de la nature, qui leur donne l’image la plus sensée de l’existence : pour mesurer notre place dans l’univers, il faut d’abord entendre la place de l’univers en nous. Or cette imbrication semble oubliée voire gommée par la plupart des systèmes philosophiques. Faut-il voir là quelque rapport avec la destruction accélérée de la planète ou, parallèlement, avec le manque d’enthousiasme général qui nous gagne ?

La nature, il en reste encore assez pour s’en mêler. Alors, découvrons le secret des vieilles cosmogonies et sollicitons nos auteurs un par un, les littérateurs et les visionnaires, la poignée de philosophes intéressés, puis les érudits de l’écologie si pleins de verdeur – afin de moissonner les recettes d’une attitude plus confortable.

Elles risquent de surprendre. Car, à force de cerner l’intelligence du monde, on va voir que c’est un mystère à double tranchant. »


« Au gré des rangements à perte de vue de ma bibliothèque, j´ai fini par mettre ensemble Héraclite, Zhuangzi, Goethe, Nietzsche, Thoreau, Bachelard et Rimbaud. Leur point commun, c´est la compréhension (« prendre avec ») de la nature, qui leur donne l’image la plus sensée de l’existence : pour mesurer notre place dans l’univers, il faut d’abord entendre la place de l’univers en nous. Or cette imbrication semble oubliée voire gommée par la plupart des systèmes philosophiques. Faut-il voir là quelque rapport avec la destruction accélérée de la planète ou, parallèlement, avec le manque d’enthousiasme général qui nous gagne ?

La nature, il en reste encore assez pour s’en mêler. Alors, découvrons le secret des vieilles cosmogonies et sollicitons nos auteurs un par un, les littérateurs et les visionnaires, la poignée de philosophes intéressés, puis les érudits de l’écologie si pleins de verdeur – afin de moissonner les recettes d’une attitude plus confortable.

Elles risquent de surprendre. Car, à force de cerner l’intelligence du monde, on va voir que c’est un mystère à double tranchant. »