CONNEXION perm_identity Panier vide shopping_cart

Carnets de voyage d´un botaniste

Auteur : PELT Jean-Marie
Editeur : LIVRE DE POCHE (LE)
Nombre de pages : 250
Date de parution : 15/04/2015
Forme : Livre de poche ISBN : 9782253068372
FAY491

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 6.90€

Il y a vingt ans Jean-Marie Pelt publiait avec un franc succès son Tour du monde d’un écologiste. Il remet ici ses pas dans les siens, non plus pour dénoncer les déprédations subies par la planète, mais pour nous faire partager l’émerveillement du savant face à l’infinie diversité de sa parure végétale, liée à la disparité des sols et des climats rencontrés. Son périple le conduit de l’Afghanistan en guerre à l’ensemble du Proche et Moyen-Orient où il cherche en vain la trace des roses d’Ispahan, de l’Afrique subsaharienne où, initié au vaudou, il fait connaissance avec les pouvoirs des plantes hallucinogènes, à ces précieuses réserves que constituent les îles et archipels, des Seychelles aux Maldives, de Maurice aux Canaries, avant de rentrer, tel Ulysse, dans son canton aux trois frontières à deux pas de Schengen, où un " gisement d’orchidées unique par la richesse de ses espèces " donne l’occasion au botaniste d’épiloguer sur les mœurs comparées de ces étranges végétaux et de ce non moins singulier animal qu’est l’homme. À quatre-vingts ans sonnés, plus « vert » que jamais, Jean-Marie Pelt, « l’homme qui aimait les plantes », livre là toute la mémoire de ses savoirs et de ses émerveillements face à une nature dont il s’est fait l’inlassable défenseur.


Il y a vingt ans Jean-Marie Pelt publiait avec un franc succès son Tour du monde d’un écologiste. Il remet ici ses pas dans les siens, non plus pour dénoncer les déprédations subies par la planète, mais pour nous faire partager l’émerveillement du savant face à l’infinie diversité de sa parure végétale, liée à la disparité des sols et des climats rencontrés. Son périple le conduit de l’Afghanistan en guerre à l’ensemble du Proche et Moyen-Orient où il cherche en vain la trace des roses d’Ispahan, de l’Afrique subsaharienne où, initié au vaudou, il fait connaissance avec les pouvoirs des plantes hallucinogènes, à ces précieuses réserves que constituent les îles et archipels, des Seychelles aux Maldives, de Maurice aux Canaries, avant de rentrer, tel Ulysse, dans son canton aux trois frontières à deux pas de Schengen, où un " gisement d’orchidées unique par la richesse de ses espèces " donne l’occasion au botaniste d’épiloguer sur les mœurs comparées de ces étranges végétaux et de ce non moins singulier animal qu’est l’homme. À quatre-vingts ans sonnés, plus « vert » que jamais, Jean-Marie Pelt, « l’homme qui aimait les plantes », livre là toute la mémoire de ses savoirs et de ses émerveillements face à une nature dont il s’est fait l’inlassable défenseur.