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SCHELLING F.W.J. De l´âme du monde. Une hypothèse de la physique supérieure pour l´explication de l´organisme général Librairie Eklectic

De l´âme du monde. Une hypothèse de la physique supérieure pour l´explication de l´organisme général

Auteur : SCHELLING F.W.J.
Editeur : RUE D´ULM
Nombre de pages : 322
Date de parution : 15/11/2007
Forme : Livre ISBN : 9782728803682
RUEDULM05

NEUF habituellement en stock
Prix : 23.40€

"De l’âme du monde (1798) représente un moment clef dans la formation de la philosophie schellingienne, et plus généralement de l’idéalisme allemand. Schelling y précise sa philosophie de la nature, en s’appuyant sur une analyse extrêmement détaillée des avancées les plus récentes des sciences physiques et biologiques, dont il tente d’intégrer toutes les données au sein d’un système cohérent. En supposant une identité entre la production des différents objets du monde et l’activité de l’esprit humain, il édifie une pensée idéaliste destinée à rendre compte aussi bien du monde qui nous entoure que de la connaissance que nous pouvons en avoir. Si lui-même, quelques années plus tard, abandonnera cette voie, il aura entre-temps stimulé toute une génération de médecins et de naturalistes qui, dans le cadre des mouvements romantiques, contribueront à l’essor spectaculaire de leur discipline dans les premières décennies du XIXe siècle.
À ce titre, le présent ouvrage constitue une étape déterminante de l’histoire des idées. Le texte est inédit en français.

************
Friedrich Wilhelm Joseph Schelling (1775-1854) fut, avec Fichte et Hegel, l’un des représentants les plus éminents de l’idéalisme allemand. Profondément marqué par la pensée dialectique de Fichte, il suivit bientôt sa propre voie et fonda une philosophie de la nature très personnelle, ouverte sur les sciences. Il développa autour de 1800 sa conception d’une identité absolue de l’esprit et de la nature, avant de se consacrer à des travaux d’esthétique, puis de philosophie de l’histoire et des religions. En dépit des critiques que lui adressa Hegel, il exerça une influence profonde, aussi bien chez les scientifiques que chez les philosophes.
****
Stéphane Schmitt est chargé de recherche au CNRS et travaille dans l’équipe REHSEIS (Paris). Auteur de plusieurs ouvrages sur l’histoire de la biologie (dont Du feuillet au gène. Une histoire de l’embryologie moderne fin XVIIIe-XXe siècle, avec J.-Cl. Dupont, Rue d’Ulm, 2004 ; Les Parties répétées. Histoire d’une question anatomique, Muséum national d’histoire naturelle, 2004), il vient de publier une édition critique d’oeuvres de Buffon dans la « Bibliothèque de la Pléiade » et dirige l’édition critique des oeuvres complètes de cet auteur aux éditions Honoré Champion."


"De l’âme du monde (1798) représente un moment clef dans la formation de la philosophie schellingienne, et plus généralement de l’idéalisme allemand. Schelling y précise sa philosophie de la nature, en s’appuyant sur une analyse extrêmement détaillée des avancées les plus récentes des sciences physiques et biologiques, dont il tente d’intégrer toutes les données au sein d’un système cohérent. En supposant une identité entre la production des différents objets du monde et l’activité de l’esprit humain, il édifie une pensée idéaliste destinée à rendre compte aussi bien du monde qui nous entoure que de la connaissance que nous pouvons en avoir. Si lui-même, quelques années plus tard, abandonnera cette voie, il aura entre-temps stimulé toute une génération de médecins et de naturalistes qui, dans le cadre des mouvements romantiques, contribueront à l’essor spectaculaire de leur discipline dans les premières décennies du XIXe siècle.
À ce titre, le présent ouvrage constitue une étape déterminante de l’histoire des idées. Le texte est inédit en français.

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Friedrich Wilhelm Joseph Schelling (1775-1854) fut, avec Fichte et Hegel, l’un des représentants les plus éminents de l’idéalisme allemand. Profondément marqué par la pensée dialectique de Fichte, il suivit bientôt sa propre voie et fonda une philosophie de la nature très personnelle, ouverte sur les sciences. Il développa autour de 1800 sa conception d’une identité absolue de l’esprit et de la nature, avant de se consacrer à des travaux d’esthétique, puis de philosophie de l’histoire et des religions. En dépit des critiques que lui adressa Hegel, il exerça une influence profonde, aussi bien chez les scientifiques que chez les philosophes.
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Stéphane Schmitt est chargé de recherche au CNRS et travaille dans l’équipe REHSEIS (Paris). Auteur de plusieurs ouvrages sur l’histoire de la biologie (dont Du feuillet au gène. Une histoire de l’embryologie moderne fin XVIIIe-XXe siècle, avec J.-Cl. Dupont, Rue d’Ulm, 2004 ; Les Parties répétées. Histoire d’une question anatomique, Muséum national d’histoire naturelle, 2004), il vient de publier une édition critique d’oeuvres de Buffon dans la « Bibliothèque de la Pléiade » et dirige l’édition critique des oeuvres complètes de cet auteur aux éditions Honoré Champion."