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GOTHUEY Marie Claire Oliba Cabreta - l´épopée des Wisigoths à l´origine du mystère de Rennes le Château Librairie Eklectic

Oliba Cabreta - l´épopée des Wisigoths à l´origine du mystère de Rennes le Château

Auteur : GOTHUEY Marie Claire
Editeur : LAURIER ( Editions du )
Nombre de pages : 113
Date de parution : 06/02/2020
Forme : Livre ISBN : 9782955855546
LAURIER08

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 20.00€

D´où vient sainte Marie Madeleine ?
N´était-elle qu´une vulgaire courtisane et une débauchée repentie, comme le prétend l´église romaine, ou avait-elle un tout autre statut ?
Comment son héritage, sa mémoire et son lignage ont-ils été transmis et perpétués ? Quels sont les lieux où cette transmission a eu lieu et s´est enracinée ?
Et quel fut le rôle des Wisigoths là-dedans, eux qui ont assuré la transition entre l´Empire romain et le Moyen Âge, entre le 5e et le 10e siècles ?
La réponse est dans Oliba Cabreta, le premier livre de Marie-Claire Gothuey.
Sommaire
Oliba Cabreta, comte de Cerdagne et de Besalù
La missive de l´abbé Garin
Les confidences d´Urséol de Venise à Oliba
Pèlerinage au mont Canigou
« Pénitence, pénitense ! »
L´ultime combat d´Oliba
L´adieu à Besalù
L´arrivée à Monte Cassino
Oliba à la fenêtre de Vénus
La visite d´Oliba chez Aton de Vic
Les parchemins retrouvés.
24 € (frais d´envoi inclus)

Commander et acheter par Paypal,

ou par chèque, au 2, rue du Haut du Village, 11190 Bugarach.

« En France, les Wisigoths ont toujours été soumis à une double peine. D´une part, ce sont des barbares et on les associe à des notions de horde sauvage, de destructions et de négation de la culture classique. Et, d´autre part, ce ne sont pas les héros du récit national, un rôle qui a été dévolu aux Francs. » (Laure Barthet, commissaire de l´exposition « Wisigoths. Rois de Toulouse », 2020). Pourquoi cette « double peine » ? Parce que les Wisigoths ont pris Rome alors que les Francs se sont fait prendre par Rome. Les Wisigoths, en conquérant la « ville éternelle » en 410 (et avec le mariage d´Athaulf et de Gallia Placidia quatre ans plus tard à Narbonne) ont relevé, par et pour eux-mêmes (de leur propre initiative), la légitimité impériale (le droit d´exercer la souveraineté sur l´Europe), tandis que les Francs se sont alliés à Rome pour en recevoir la même légitimité. La différence essentielle est que dans le premier cas, l´empereur et l´évêque de Rome ont dû s´incliner face aux Wisigoths, alors que dans le second, ce sont les Francs qui durent s´incliner devant le pape romain et ses évêques en Gaule, comme l´a bien dit saint Rémi, l´évêque de Reims, en baptisant Clovis : « Courbe la tête, fier Sicambre... » Le moment fondateur de la France est, en soi, un acte de soumission à l´église romaine, héritière autoproclamée de l´Empire romain : dès l´origine le royaume et la nation se placent dans la continuité du modèle impérial et théocratique porté par les papes à la suite des empereurs romains, dont les rois de France (qu´ils fussent mérovingiens, carolingiens, capétiens, etc.) ne furent que les instruments plus ou moins dociles. Rien de tel chez les Wisigoths : leur royaume et leur nation - cette Gothie qui comprenait la Gaule (jusqu´à la Loire) et l´Ibérie (jusqu´à Gibraltar) - ne furent jamais soumis à rien ni personne, et restèrent libres, autonomes et souverains, tout en affrontant, siècle après siècle (et jusqu´à l´ignoble campagne d´extermination et de terrorisme appelée « croisade des Albigeois » au XIIIe siècle), le harcèlement militaire et la persécution religieuse de la part de Paris et de Rome, alliés dans le même objectif de supprimer les souverains légitimes d´Occident (et d´effacer leur mémoire) pour s´emparer de tout le pouvoir possible sur le plus de monde possible. Cet objectif absolutiste et totalitaire culmine aujourd´hui dans ce « nouvel ordre mondial » dont le Vatican sera resté jusqu´au bout l´un des principaux piliers.

 


D´où vient sainte Marie Madeleine ?
N´était-elle qu´une vulgaire courtisane et une débauchée repentie, comme le prétend l´église romaine, ou avait-elle un tout autre statut ?
Comment son héritage, sa mémoire et son lignage ont-ils été transmis et perpétués ? Quels sont les lieux où cette transmission a eu lieu et s´est enracinée ?
Et quel fut le rôle des Wisigoths là-dedans, eux qui ont assuré la transition entre l´Empire romain et le Moyen Âge, entre le 5e et le 10e siècles ?
La réponse est dans Oliba Cabreta, le premier livre de Marie-Claire Gothuey.
Sommaire
Oliba Cabreta, comte de Cerdagne et de Besalù
La missive de l´abbé Garin
Les confidences d´Urséol de Venise à Oliba
Pèlerinage au mont Canigou
« Pénitence, pénitense ! »
L´ultime combat d´Oliba
L´adieu à Besalù
L´arrivée à Monte Cassino
Oliba à la fenêtre de Vénus
La visite d´Oliba chez Aton de Vic
Les parchemins retrouvés.
24 € (frais d´envoi inclus)

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ou par chèque, au 2, rue du Haut du Village, 11190 Bugarach.

« En France, les Wisigoths ont toujours été soumis à une double peine. D´une part, ce sont des barbares et on les associe à des notions de horde sauvage, de destructions et de négation de la culture classique. Et, d´autre part, ce ne sont pas les héros du récit national, un rôle qui a été dévolu aux Francs. » (Laure Barthet, commissaire de l´exposition « Wisigoths. Rois de Toulouse », 2020). Pourquoi cette « double peine » ? Parce que les Wisigoths ont pris Rome alors que les Francs se sont fait prendre par Rome. Les Wisigoths, en conquérant la « ville éternelle » en 410 (et avec le mariage d´Athaulf et de Gallia Placidia quatre ans plus tard à Narbonne) ont relevé, par et pour eux-mêmes (de leur propre initiative), la légitimité impériale (le droit d´exercer la souveraineté sur l´Europe), tandis que les Francs se sont alliés à Rome pour en recevoir la même légitimité. La différence essentielle est que dans le premier cas, l´empereur et l´évêque de Rome ont dû s´incliner face aux Wisigoths, alors que dans le second, ce sont les Francs qui durent s´incliner devant le pape romain et ses évêques en Gaule, comme l´a bien dit saint Rémi, l´évêque de Reims, en baptisant Clovis : « Courbe la tête, fier Sicambre... » Le moment fondateur de la France est, en soi, un acte de soumission à l´église romaine, héritière autoproclamée de l´Empire romain : dès l´origine le royaume et la nation se placent dans la continuité du modèle impérial et théocratique porté par les papes à la suite des empereurs romains, dont les rois de France (qu´ils fussent mérovingiens, carolingiens, capétiens, etc.) ne furent que les instruments plus ou moins dociles. Rien de tel chez les Wisigoths : leur royaume et leur nation - cette Gothie qui comprenait la Gaule (jusqu´à la Loire) et l´Ibérie (jusqu´à Gibraltar) - ne furent jamais soumis à rien ni personne, et restèrent libres, autonomes et souverains, tout en affrontant, siècle après siècle (et jusqu´à l´ignoble campagne d´extermination et de terrorisme appelée « croisade des Albigeois » au XIIIe siècle), le harcèlement militaire et la persécution religieuse de la part de Paris et de Rome, alliés dans le même objectif de supprimer les souverains légitimes d´Occident (et d´effacer leur mémoire) pour s´emparer de tout le pouvoir possible sur le plus de monde possible. Cet objectif absolutiste et totalitaire culmine aujourd´hui dans ce « nouvel ordre mondial » dont le Vatican sera resté jusqu´au bout l´un des principaux piliers.