CONNEXION perm_identity Panier vide shopping_cart

TOUS LES TITRES

DOORGESH RAMSEWAK Shri Lumière de l´absolu (La) Librairie Eklectic

Lumière de l´absolu (La)

Auteur : DOORGESH RAMSEWAK Shri
Editeur : DEUX OCEANS
Nombre de pages : 86
Date de parution : 01/03/2010
Forme : Livre ISBN : 9782866811648
2OC150

NEUF habituellement en stock
Prix : 16.00€

Traduit de l´anglais par Yves Moatty.
L’homme court après le bonheur. Au plus profond de lui pourtant, même si sa quête est spirituelle, il ne peut pleinement assouvir son désir. La religion naît lorsque naît en l’homme la question première : Qui suis-je ? Pourquoi suis-je ce que je suis ? L’homme veut pénétrer le mystère qui l’entoure. Ce qu’il y a avant la naissance et après la mort importe plus que le début ou la fin de l’existence. L’homme est-il ce corps qui lui sert à se pavaner, ce mental qui pense, ces sens qui s’agitent ou quelque chose d’encore plus limité ? Franchies les portes de la mort, que survit-il de son être ? Quel est cet ardent désir de vie qui semble l’emporter comme le vent emporte la feuille morte avant l’orage ? Il ne sert à rien, enseigne l’Hindouisme, de pleurer l’impermanence et la fugacité de la vie car tout homme peut à la longue s’arracher des griffes de l’illusion. En son essence la plus profonde ce “ Je ” dont l’homme s’enorgueillit est une part immortelle de Dieu.


Traduit de l´anglais par Yves Moatty.
L’homme court après le bonheur. Au plus profond de lui pourtant, même si sa quête est spirituelle, il ne peut pleinement assouvir son désir. La religion naît lorsque naît en l’homme la question première : Qui suis-je ? Pourquoi suis-je ce que je suis ? L’homme veut pénétrer le mystère qui l’entoure. Ce qu’il y a avant la naissance et après la mort importe plus que le début ou la fin de l’existence. L’homme est-il ce corps qui lui sert à se pavaner, ce mental qui pense, ces sens qui s’agitent ou quelque chose d’encore plus limité ? Franchies les portes de la mort, que survit-il de son être ? Quel est cet ardent désir de vie qui semble l’emporter comme le vent emporte la feuille morte avant l’orage ? Il ne sert à rien, enseigne l’Hindouisme, de pleurer l’impermanence et la fugacité de la vie car tout homme peut à la longue s’arracher des griffes de l’illusion. En son essence la plus profonde ce “ Je ” dont l’homme s’enorgueillit est une part immortelle de Dieu.