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WILDE Oscar De profundis Librairie Eklectic

De profundis

Auteur : WILDE Oscar
Editeur : STOCK
Nombre de pages : 224
Date de parution : 01/10/2005
Forme : Livre ISBN : 9782234058262
STO10

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 15.00€

Oscar Wilde écrivit De profundis de janvier à mars 1897, au cours de ses derniers mois d´incarcération à Reading. C´est le seul ouvrage qu´il rédigea en prison. Et sans doute aussi son chef-d´½uvre et une des plus belles lettres d´amour qui soient, où résonne toute la plainte de l´amour perdu. « Le sanglot d´un blessé qui se débat... », disait Gide. Adressée à celui qui fut à l´origine de son incarcération et de sa chute, Lord Alfred Douglas, cette lettre, oscillant sans cesse entre l´amour fou et la haine, le désespoir et l´exaltation, la laideur du quotidien et la sublimation, marque une rupture définitive dans la pensée de Wilde. Le dandy hédoniste laisse en effet tomber son masque, et c´est sans filet et sans artifices qu´il aborde le désir, les désillusions et la souffrance. Le manuscrit original de Wilde subit des fortunes diverses. Oscar Wilde le remit à son ami Robert Ross en mai 1897 pour qu´il l´adresse ensuite à son véritable destinataire, Lord Alfred Douglas. Mais Ross n´envoya à celui-ci qu´une copie incomplète et déposa l´original en 1909 au British Museum, d´où il ne put être retiré que cinquante ans plus tard. C´est à partir de ce texte, le seul authentique et intégral, que la présente traduction de De profundis a été établie.


Oscar Wilde écrivit De profundis de janvier à mars 1897, au cours de ses derniers mois d´incarcération à Reading. C´est le seul ouvrage qu´il rédigea en prison. Et sans doute aussi son chef-d´½uvre et une des plus belles lettres d´amour qui soient, où résonne toute la plainte de l´amour perdu. « Le sanglot d´un blessé qui se débat... », disait Gide. Adressée à celui qui fut à l´origine de son incarcération et de sa chute, Lord Alfred Douglas, cette lettre, oscillant sans cesse entre l´amour fou et la haine, le désespoir et l´exaltation, la laideur du quotidien et la sublimation, marque une rupture définitive dans la pensée de Wilde. Le dandy hédoniste laisse en effet tomber son masque, et c´est sans filet et sans artifices qu´il aborde le désir, les désillusions et la souffrance. Le manuscrit original de Wilde subit des fortunes diverses. Oscar Wilde le remit à son ami Robert Ross en mai 1897 pour qu´il l´adresse ensuite à son véritable destinataire, Lord Alfred Douglas. Mais Ross n´envoya à celui-ci qu´une copie incomplète et déposa l´original en 1909 au British Museum, d´où il ne put être retiré que cinquante ans plus tard. C´est à partir de ce texte, le seul authentique et intégral, que la présente traduction de De profundis a été établie.