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WOLF Naomi Tout perdre pour la vérité et ne rien regretter Librairie Eklectic

Tout perdre pour la vérité et ne rien regretter

Auteur : WOLF Naomi
Editeur : RESURGENCE         collection : Médecine et société
Nombre de pages : 240
Date de parution : 11/06/2025
Forme : Livre ISBN : 9782874342493
RES31

NEUF habituellement en stock
Prix : 25.00€

Comment une icône de la gauche étasunienne féministe a été victime de la cancel culture de son propre camp pour avoir alerté sur les effets des vaccins covid sur la santé des femmes - et comment elle a tourné le dos au « monde post-vérité » qu´elle dénonce. Du jour au lendemain, Naomi Wolf est passée du statut de journaliste vedette des plateaux télé, d´auteure de best-sellers du New York Times et de consultante d´élite pour le Parti démocrate à persona non grata, « fêlée », « complotiste ». Son péché ? Avoir fait le travail dont les bons journalistes s´enorgueillissaient jadis : poser des questions, défier le pouvoir - et, au cours de l´un des moments les plus politiquement conflictuels de l´histoire moderne, avoir pointé les nombreux échecs de la réponse de santé publique à la pandémie, tout en faisant la chronique du dangereux glissement de notre démocratie vers la tyrannie, la censure, le totalitarisme. Son livre est le récit passionnant de sa transformation politique, personnelle et spirituelle. Il est un appel au courage de chacun, un cri pour la liberté, un hymne aux valeurs fondatrices des États-Unis et plus largement de l´Occident. Naomi Wolf aborde des sujets capitaux comme la souveraineté de chacun sur son corps, le contrôle de la pensée par les progressistes et les médias, la relation criminelle entre la FDA et Pfizer, l´influence de Big Pharma sur les grandes universités de la côte Est autrefois fleurons de la libre-pensée. Elle raconte même son revirement à 180 degrés sur la question du port d´armes, qui éclaire d´un jour nouveau cette question controversée (et exotique pour nous Européens). Enfin, pour Wolf, les explications strictement humaines à la « crise » du covid ne suffisent pas ; elle soutient que des forces pour le moins obscures sont à l´oeuvre, remettant ainsi au goût du jour la dialectique presque rafraîchissante du bien et du mal. Se lit d´une traite. « Il est difficile de pardonner aux médecins, aux hôpitaux [...] qui savaient. [...] Et qui ont baissé la tête et planté les aiguilles dans les bras d´innocents. [...] Il n´y a pas eu d´accolade après la libération d´Auschwitz. [...] Une ‘amnistie´ pour des crimes d´une telle gravité n´est pas envisageable. »


Comment une icône de la gauche étasunienne féministe a été victime de la cancel culture de son propre camp pour avoir alerté sur les effets des vaccins covid sur la santé des femmes - et comment elle a tourné le dos au « monde post-vérité » qu´elle dénonce. Du jour au lendemain, Naomi Wolf est passée du statut de journaliste vedette des plateaux télé, d´auteure de best-sellers du New York Times et de consultante d´élite pour le Parti démocrate à persona non grata, « fêlée », « complotiste ». Son péché ? Avoir fait le travail dont les bons journalistes s´enorgueillissaient jadis : poser des questions, défier le pouvoir - et, au cours de l´un des moments les plus politiquement conflictuels de l´histoire moderne, avoir pointé les nombreux échecs de la réponse de santé publique à la pandémie, tout en faisant la chronique du dangereux glissement de notre démocratie vers la tyrannie, la censure, le totalitarisme. Son livre est le récit passionnant de sa transformation politique, personnelle et spirituelle. Il est un appel au courage de chacun, un cri pour la liberté, un hymne aux valeurs fondatrices des États-Unis et plus largement de l´Occident. Naomi Wolf aborde des sujets capitaux comme la souveraineté de chacun sur son corps, le contrôle de la pensée par les progressistes et les médias, la relation criminelle entre la FDA et Pfizer, l´influence de Big Pharma sur les grandes universités de la côte Est autrefois fleurons de la libre-pensée. Elle raconte même son revirement à 180 degrés sur la question du port d´armes, qui éclaire d´un jour nouveau cette question controversée (et exotique pour nous Européens). Enfin, pour Wolf, les explications strictement humaines à la « crise » du covid ne suffisent pas ; elle soutient que des forces pour le moins obscures sont à l´oeuvre, remettant ainsi au goût du jour la dialectique presque rafraîchissante du bien et du mal. Se lit d´une traite. « Il est difficile de pardonner aux médecins, aux hôpitaux [...] qui savaient. [...] Et qui ont baissé la tête et planté les aiguilles dans les bras d´innocents. [...] Il n´y a pas eu d´accolade après la libération d´Auschwitz. [...] Une ‘amnistie´ pour des crimes d´une telle gravité n´est pas envisageable. »