
Voici le maître-ouvrage qui vient combler la méconnaissance générale de la pensée byzantine, de ses philosophes et de ses théologiens sans lesquels Juifs, Latins et Arabes n´auraient pas bâti les mêmes oeuvres monumentales. Pendant plus d´un millénaire, Constantinople, la « nouvelle Rome », a ainsi été le centre du christianisme oriental dont le rayonnement, d´Alexandrie et de Damas à Sofia et Moscou, continue d´animer l´Église orthodoxe. Qu´il s´attache à relater la crise des icônes ou la querelle du filioque, à portraiturer Maxime le Confesseur ou Grégoire Palamas, à montrer le rôle majeur du monachisme ou le fonctionnement réel de la symphonie des pouvoirs, Jean Meyendorff fait à la fois oeuvre d´histoire, de doctrine et de spiritualité. Un traité sans égal. Enseignant tour à tour en France, à Saint-Serge, et aux États-Unis, à Saint-Vladimir, Jean Meyendorff fut professeur à l´université jésuite Fordham de New York. Il figure parmi les grands théologiens du XXe siècle.

Voici le maître-ouvrage qui vient combler la méconnaissance générale de la pensée byzantine, de ses philosophes et de ses théologiens sans lesquels Juifs, Latins et Arabes n´auraient pas bâti les mêmes oeuvres monumentales. Pendant plus d´un millénaire, Constantinople, la « nouvelle Rome », a ainsi été le centre du christianisme oriental dont le rayonnement, d´Alexandrie et de Damas à Sofia et Moscou, continue d´animer l´Église orthodoxe. Qu´il s´attache à relater la crise des icônes ou la querelle du filioque, à portraiturer Maxime le Confesseur ou Grégoire Palamas, à montrer le rôle majeur du monachisme ou le fonctionnement réel de la symphonie des pouvoirs, Jean Meyendorff fait à la fois oeuvre d´histoire, de doctrine et de spiritualité. Un traité sans égal. Enseignant tour à tour en France, à Saint-Serge, et aux États-Unis, à Saint-Vladimir, Jean Meyendorff fut professeur à l´université jésuite Fordham de New York. Il figure parmi les grands théologiens du XXe siècle.
