CONNEXION perm_identity Panier vide shopping_cart

TOUS LES TITRES

Hildegarde de Bingen - Gothic Voices. Sequences and hymns - CD

Auteur : Collectif
Editeur : HYPERION (CD)
Nombre de pages : 44
Date de parution : 01/12/2003 (1ére édition 1983)
Forme : CD audio ISBN : -
HYP03

EPUISE

"Hildegard von Bingen (1098-1179) / ""Une plume portée par le souffle de Dieu"".
Columba aspexit (Séquence de Sancto Maximino [Saint Maximin]) ;
Ave, generosa (Ymnus de Sancta Maria / Hymne à la Vierge) ;
O ignis spiritus (Séquence de Spiritu Sancto / Séquence de l´Esprit Saint) ;
O Ierusalem (De Sancto Ruperto / Célébration de Saint Rupert) ;
O Euchari (De sancto Euchario Sequentia / Séquence de la sainte Eucharistie) ;
O viridissima virga (De Sancta Maria / Célébration de la sainte Vierge Marie) ;
O presul vere civitatis (Séquence de Sancto Dysibodo [Saint Disibod]) ;
O Ecclesia (De undecim milibus Virginibus / Célébration de sainte Ursule avec la légende des ""Onze mille Vierges"").
Hildegard von Bingen fut l’une des grandes figures du 12ème siècle, voire de tout le Moyen Âge. Victime de visions dès son enfance (un pouvoir qui pouvait être dangereux à l’époque), elle consulta son confesseur qui ne la fit pas brûler mais, au contraire, fit noter lesdites visions par des moines. Outre ces visions, Hildegard (sainte Hildegard, bien qu’elle ne fut jamais canonisée) écrivit un traité de science et de médecine, qui fait preuve d’un sens de l’objectivité et de l’observation rare dans ces temps-là. Elle écrivait également des poèmes, et de la musique que voici restituée dans sa splendeur.
Splendeur mélodique, d’une part, mais également splendeur dramatique, car Hildegard semble avoir, en quelque sorte, transcrit ses visions en musique - à moins que ce ne soit sa musique qui n’ait servi d’exutoire à ses visions, qui sait - Sa renommée était telle qu’elle fut engagée dans la vie politique et diplomatique : papes, empereurs, rois, archevêques cherchaient souvent conseil auprès d’elle. Une personnalité extrêmement intrigante, et une musique non moins hors du commun qui n’est pas sans évoquer parfois Carmina Burana de Orff (écrit 900 ans plus tard !), rendue ici dans une interprétation qui lui rend justice."


"Hildegard von Bingen (1098-1179) / ""Une plume portée par le souffle de Dieu"".
Columba aspexit (Séquence de Sancto Maximino [Saint Maximin]) ;
Ave, generosa (Ymnus de Sancta Maria / Hymne à la Vierge) ;
O ignis spiritus (Séquence de Spiritu Sancto / Séquence de l´Esprit Saint) ;
O Ierusalem (De Sancto Ruperto / Célébration de Saint Rupert) ;
O Euchari (De sancto Euchario Sequentia / Séquence de la sainte Eucharistie) ;
O viridissima virga (De Sancta Maria / Célébration de la sainte Vierge Marie) ;
O presul vere civitatis (Séquence de Sancto Dysibodo [Saint Disibod]) ;
O Ecclesia (De undecim milibus Virginibus / Célébration de sainte Ursule avec la légende des ""Onze mille Vierges"").
Hildegard von Bingen fut l’une des grandes figures du 12ème siècle, voire de tout le Moyen Âge. Victime de visions dès son enfance (un pouvoir qui pouvait être dangereux à l’époque), elle consulta son confesseur qui ne la fit pas brûler mais, au contraire, fit noter lesdites visions par des moines. Outre ces visions, Hildegard (sainte Hildegard, bien qu’elle ne fut jamais canonisée) écrivit un traité de science et de médecine, qui fait preuve d’un sens de l’objectivité et de l’observation rare dans ces temps-là. Elle écrivait également des poèmes, et de la musique que voici restituée dans sa splendeur.
Splendeur mélodique, d’une part, mais également splendeur dramatique, car Hildegard semble avoir, en quelque sorte, transcrit ses visions en musique - à moins que ce ne soit sa musique qui n’ait servi d’exutoire à ses visions, qui sait - Sa renommée était telle qu’elle fut engagée dans la vie politique et diplomatique : papes, empereurs, rois, archevêques cherchaient souvent conseil auprès d’elle. Une personnalité extrêmement intrigante, et une musique non moins hors du commun qui n’est pas sans évoquer parfois Carmina Burana de Orff (écrit 900 ans plus tard !), rendue ici dans une interprétation qui lui rend justice."