
 
		Première causerie : Ernst, le profane, et Falk, le franc-maçon, discutent de l´appartenance de ce dernier à la franc-maçonnerie.
C´est  le moment du dévoilement personnel et de la mise en question, par  Ernst, des actions d´éclat menées par l´Ordre maçonnique allemand.  Deuxième causerie : Falk émet une réserve quant à la nature du secret  maçonnique, qui n´est pas de la même nature que les actions de la  franc-maçonnerie. Il distingue d´ailleurs bien le franc-maçon de la  franc-maçonnerie. Troisième causerie : la discussion porte sur les intentions de la  franc-maçonnerie et se termine sur un petit épilogue nous apprenant que  Ernst se fera maçon.
Les deux causeries suivantes, totalement  inédites en français, développent après une rapide histoire de la  franc-maçonnerie, une critique assez acerbe de la part de Ernst,  désormais jeune apprenti : l´étonnement puis l´agacement de voir que  dans la franc-maçonnerie la superstition y est aussi présente que les  Lumières. Le choix de Lessing de destiner son livre aux seuls initiés,  s’explique par la nature des propos, pas toujours très tendres, qui y  sont défendus.
Comme l´expose le traducteur dans sa présentation, la  première mouvance visée dans les critiques communes de Ernst et Falk,  est celle, alors fortement en vogue en Allemagne, pour ne pas dire  officielle, des néo-templiers. On pressent naturellement là tout ce que  Lessing a pu provoquer chez les tenants du templarisme, et quelle main  forte il a su prêter à son protecteur, le Duc Ferdinand de Brunswick, futur Grand Maître de  l´Obédience et introducteur, en Allemagne, du rite écossais rectifié  (Convent de Wilhelmsbad, 1782) par le truchement du système de  Willermoz.

Première causerie : Ernst, le profane, et Falk, le franc-maçon, discutent de l´appartenance de ce dernier à la franc-maçonnerie.
C´est  le moment du dévoilement personnel et de la mise en question, par  Ernst, des actions d´éclat menées par l´Ordre maçonnique allemand.  Deuxième causerie : Falk émet une réserve quant à la nature du secret  maçonnique, qui n´est pas de la même nature que les actions de la  franc-maçonnerie. Il distingue d´ailleurs bien le franc-maçon de la  franc-maçonnerie. Troisième causerie : la discussion porte sur les intentions de la  franc-maçonnerie et se termine sur un petit épilogue nous apprenant que  Ernst se fera maçon.
Les deux causeries suivantes, totalement  inédites en français, développent après une rapide histoire de la  franc-maçonnerie, une critique assez acerbe de la part de Ernst,  désormais jeune apprenti : l´étonnement puis l´agacement de voir que  dans la franc-maçonnerie la superstition y est aussi présente que les  Lumières. Le choix de Lessing de destiner son livre aux seuls initiés,  s’explique par la nature des propos, pas toujours très tendres, qui y  sont défendus.
Comme l´expose le traducteur dans sa présentation, la  première mouvance visée dans les critiques communes de Ernst et Falk,  est celle, alors fortement en vogue en Allemagne, pour ne pas dire  officielle, des néo-templiers. On pressent naturellement là tout ce que  Lessing a pu provoquer chez les tenants du templarisme, et quelle main  forte il a su prêter à son protecteur, le Duc Ferdinand de Brunswick, futur Grand Maître de  l´Obédience et introducteur, en Allemagne, du rite écossais rectifié  (Convent de Wilhelmsbad, 1782) par le truchement du système de  Willermoz.
