 
		De nombreuses oeuvres littéraires, artistiques ou architecturales  peuvent s’interpréter selon plusieurs niveaux de lecture et receler des  enseignements ou des messages cachés, relatifs à divers domaines de la  Connaissance.
Olivier Reibel, tintinophile depuis son enfance, a  cherché à comprendre pourquoi, dans chaque album de Tintin, il trouvait  des références à la franc-maçonnerie, aux sociétés secrètes, aux  sciences occultes, à la Théosophie, au bouddhisme tibétain, au taoïsme …  En lisant les nombreuses biographies et études parues sur Hergé, il  s’est rendu compte que tous les auteurs, à un moment ou à un autre,  faisaient référence à l’intérêt que portait Hergé à ces domaines.
Olivier  Reibel a donc décrypté les albums, les uns après les autres, en se  référant aux grands textes mythologiques ou religieux, aux rituels et à  la symbolique maçonniques, et étaye sa démonstration par des extraits.  Il montre que, dans chaque album, dans chaque vignette, Hergé nous fait  continuellement des clins d’oeil à l’aide de dessins, mais aussi  d’expressions, d’onomatopées… Pour Olivier Reibel, Hergé connaissait  parfaitement ces milieux, peut-être  même faisait-il partie de certains.
Il avait, entre autres, pour amis  Edgar P Jacobs et Jacques Van Melkebeke qui l’ont beaucoup influencé.  Contrairement à un certain nombre de ses exégètes, l’auteur pense  qu’Hergé n’a pas travaillé pour les enfants mais pour les adultes, (il  existe des lettres dans lesquelles Hergé décrit son aversion pour les  enfants et les visites d’écoles). Dans ses ouvrages publiés chez Dervy,  Bertrand Portevin ne s’était appuyé que sur deux albums pour sa  démonstration, Olivier Reibel s’appuie dans cet essai sur l’ensemble des  albums.

De nombreuses oeuvres littéraires, artistiques ou architecturales  peuvent s’interpréter selon plusieurs niveaux de lecture et receler des  enseignements ou des messages cachés, relatifs à divers domaines de la  Connaissance.
Olivier Reibel, tintinophile depuis son enfance, a  cherché à comprendre pourquoi, dans chaque album de Tintin, il trouvait  des références à la franc-maçonnerie, aux sociétés secrètes, aux  sciences occultes, à la Théosophie, au bouddhisme tibétain, au taoïsme …  En lisant les nombreuses biographies et études parues sur Hergé, il  s’est rendu compte que tous les auteurs, à un moment ou à un autre,  faisaient référence à l’intérêt que portait Hergé à ces domaines.
Olivier  Reibel a donc décrypté les albums, les uns après les autres, en se  référant aux grands textes mythologiques ou religieux, aux rituels et à  la symbolique maçonniques, et étaye sa démonstration par des extraits.  Il montre que, dans chaque album, dans chaque vignette, Hergé nous fait  continuellement des clins d’oeil à l’aide de dessins, mais aussi  d’expressions, d’onomatopées… Pour Olivier Reibel, Hergé connaissait  parfaitement ces milieux, peut-être  même faisait-il partie de certains.
Il avait, entre autres, pour amis  Edgar P Jacobs et Jacques Van Melkebeke qui l’ont beaucoup influencé.  Contrairement à un certain nombre de ses exégètes, l’auteur pense  qu’Hergé n’a pas travaillé pour les enfants mais pour les adultes, (il  existe des lettres dans lesquelles Hergé décrit son aversion pour les  enfants et les visites d’écoles). Dans ses ouvrages publiés chez Dervy,  Bertrand Portevin ne s’était appuyé que sur deux albums pour sa  démonstration, Olivier Reibel s’appuie dans cet essai sur l’ensemble des  albums.
