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HERRIGEL Eugen Le zen dans l´art chevaleresque du tir à l´arc Librairie Eklectic

Le zen dans l´art chevaleresque du tir à l´arc

Auteur : HERRIGEL Eugen
Editeur : DERVY Editions
Nombre de pages : 150
Date de parution : 03/11/2016
Forme : Livre relié ISBN : 9791024201825
D1061

NEUF habituellement en stock
Prix : 16.00€

Dans cet admirable petit livre, E. Herrigel, philosophe allemand qui est venu au Japon et s’est adonné au tir à l’arc pour arriver à comprendre le Zen, donne de sa propre expérience un récit qui nous éclaire. Un des caractères qui nous frappe le plus dans l’exercice du tir à l’arc, et en fait de tous les arts tels qu’on les étudie au Japon, c’est qu’on n’en attend pas des jouissances uniquement esthétiques, mais qu’on y voit un moyen de former le mental, et même de le mettre en contact avec la réalité ultime.
Aussi le tireur à l’arc ne se propose-t-il pas seulement de toucher la cible ; l’escrimeur ne manie pas son épée uniquement pour triompher de son adversaire ; le danseur ne danse pas simplement pour exécuter avec son corps certains mouvements rythmés. Il faut d’abord que le mental se mette au diapason de l’inconscient. Si l’on veut vraiment maitriser un art, les connaissances techniques ne suffisent pas. Il faut passer au-delà de la technique, de telle sorte que cet art devienne « un art sans artifice » qui ait ses racines dans l’inconscient.

Illustrations couleurs.


Dans cet admirable petit livre, E. Herrigel, philosophe allemand qui est venu au Japon et s’est adonné au tir à l’arc pour arriver à comprendre le Zen, donne de sa propre expérience un récit qui nous éclaire. Un des caractères qui nous frappe le plus dans l’exercice du tir à l’arc, et en fait de tous les arts tels qu’on les étudie au Japon, c’est qu’on n’en attend pas des jouissances uniquement esthétiques, mais qu’on y voit un moyen de former le mental, et même de le mettre en contact avec la réalité ultime.
Aussi le tireur à l’arc ne se propose-t-il pas seulement de toucher la cible ; l’escrimeur ne manie pas son épée uniquement pour triompher de son adversaire ; le danseur ne danse pas simplement pour exécuter avec son corps certains mouvements rythmés. Il faut d’abord que le mental se mette au diapason de l’inconscient. Si l’on veut vraiment maitriser un art, les connaissances techniques ne suffisent pas. Il faut passer au-delà de la technique, de telle sorte que cet art devienne « un art sans artifice » qui ait ses racines dans l’inconscient.

Illustrations couleurs.