Il y a un appel du maître intérieur. Nous pouvons passer à côté ou le saisir au bon moment. Si nous l´écoutons, il va y avoir initiation.

« Je me souviens d´un formidable loupé. Je venais de commencer le séminaire sur la magie des contes de fées de Jean-Pascal Debailleul. Un soir, nous dînions avec des amis : un neuropsychiatre jungien, un graphologue expert en écriture...
Personnellement, j´avais entamé le séminaire parce que j´ai toujours adoré les contes. Pour vaincre ma timidité aussi et pouvoir parler en public. À ce dîner, chacun y est allé de sa petite histoire un peu banale, j´avais un conte tout prêt. Je n´ai pas osé. Depuis je me suis rattrapée, mais il reste un petit trou à cet endroit-là.
Il y a un moment où il faut lâcher le bord, sinon on ne nagera jamais. Il ne faut pas avoir peur de boire la tasse ou d´être un peu ridicule. Il s´agit d´être au service de la Vie. »