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RUSPOLI Stéphane Ecrits des maîtres soufis 2. Traduction et présentation de 3 traités de Bagdadî et Semnanî Librairie Eklectic

Ecrits des maîtres soufis 2. Traduction et présentation de 3 traités de Bagdadî et Semnanî

Auteur : RUSPOLI Stéphane
Editeur : ARFUYEN         collection : Carnets Spirituels
Nombre de pages : 184
Date de parution : 08/01/2008
Forme : Livre ISBN : 9782845901131
ARFUY112

NEUF habituellement en stock
Prix : 18.00€

Pour beaucoup d’occidentaux, la vraie spiritualité musulmane se ramène à quelques grands noms comme Rûmî (1207-1273), Ibn Arabî (1165-1240), Sohravardî (1191) ou Hallâj (922). Mais n’oublions pas que ces penseurs, fort différents par leur doctrine et leur milieu d’origine, n’ont de commun que leur appartenance à la voie intérieure de l’islam, qu’on désigne du nom de soufisme. Ils étaient pratiquement inconnus du grand public voici moins d’un siècle, avant les travaux des savants orientalistes. C’est l’objet de la série intitulée les Maîtres du soufisme que de faire découvrir, au-delà des grands intellectuels qui ont illustré le soufisme, ceux qui furent vraiment, au milieu de leurs disciples, les Maîtres et les passeurs de la voie soufie. Présentés selon le principe des Carnets spirituels d’une manière simple et synthétique, les ouvrages de cette série ont l’ambition de constituer une initiation à la voie soufie en ce qu’elle a de plus pratique et authentique, en particulier en ce qu’on appelle « la voie du cœur » (dhikr). Le premier volume de cette série (Trois traités de Najm Kubrâ) a paru en octobre 2006. LE LIVRE : Ce deuxième volume des Maîtres du soufisme aborde deux auteurs marquants qui, chacun à leur manière, ont poursuivi et développé le même enseignement : Majdoddîn Bagdadî (m. 1219), principal compagnon et disciple de Kubrâ, et Semnânî (m. 1336), un mystique iranien d’envergure, dont l’oeuvre originale amorce une des premières synthèses entre le soufisme d’Ibn Arabî (m. 1240) et celui des Kubrawis. Les TROIS TRAITES ici présentés ont pour thème directeur le voyage spirituel et l’expérience de la lumière divine. Ils condensent au maximum les données symboliques du cheminement vers Dieu et de l’union spirituelle en s’appuyant sur le registre du Coran et du prophétisme islamique. Ils dévoilent surtout les étapes de l’ascension des pèlerins vers la « Source de la vie », et la fonction du « Guide de lumière », en tant que prophète initiateur et archétype de l’Homme parfait. Ils révèlent les positions parfois critiques, mais superficielles, des docteurs musulmans face au christianisme et au bouddhisme, durant l’époque mouvementée des Croisades et de la conquête mongole. Originaire de Bagdad, BAGHDADÎ occupa la charge de médecin du sultan du Khwarezm. Attiré par la voie soufie, il entra dans le cercle de Kubrâ et devint son fils spirituel et son meilleur représentant. L’Épître du Voyage spirituel, composée en persan, décrit le cheminement vers Dieu puis l’illumination spirituelle en trois chapitres : le « voyage du commun » (qui reste sans profit), le « voyage de l’élite spirituelle » (avec la conversion d’Abraham), enfin le « voyage de l’élite de l’élite » (avec l’évocation de Moïse au Sinaï). Philosophe et théologien, SEMNÂNÎ compte parmi les grandes figures du soufisme iranien. Son oeuvre, très dense, dénote l’influence combinée d’Ibn Arabî, d’Avicenne et de Sohravardî. Deux de ses traités sont ici traduits : L’Épître du dévoilement intérieur, composée en arabe, où, plutôt que de parler d’extase ou d’évasion mystique, il cherche à classer les différents plans du dévoilement en accord avec une théorie des sens subtils. Le Traité de la Lumière divine, traduit du persan, est un exposé synthétique de l’itinéraire spirituel qui suit de très près l’enseignement de Kubrâ. Le hadîth des « Soixante dix mille voiles » rythme les sept grandes étapes de l’ascension vers la lumière.


Pour beaucoup d’occidentaux, la vraie spiritualité musulmane se ramène à quelques grands noms comme Rûmî (1207-1273), Ibn Arabî (1165-1240), Sohravardî (1191) ou Hallâj (922). Mais n’oublions pas que ces penseurs, fort différents par leur doctrine et leur milieu d’origine, n’ont de commun que leur appartenance à la voie intérieure de l’islam, qu’on désigne du nom de soufisme. Ils étaient pratiquement inconnus du grand public voici moins d’un siècle, avant les travaux des savants orientalistes. C’est l’objet de la série intitulée les Maîtres du soufisme que de faire découvrir, au-delà des grands intellectuels qui ont illustré le soufisme, ceux qui furent vraiment, au milieu de leurs disciples, les Maîtres et les passeurs de la voie soufie. Présentés selon le principe des Carnets spirituels d’une manière simple et synthétique, les ouvrages de cette série ont l’ambition de constituer une initiation à la voie soufie en ce qu’elle a de plus pratique et authentique, en particulier en ce qu’on appelle « la voie du cœur » (dhikr). Le premier volume de cette série (Trois traités de Najm Kubrâ) a paru en octobre 2006. LE LIVRE : Ce deuxième volume des Maîtres du soufisme aborde deux auteurs marquants qui, chacun à leur manière, ont poursuivi et développé le même enseignement : Majdoddîn Bagdadî (m. 1219), principal compagnon et disciple de Kubrâ, et Semnânî (m. 1336), un mystique iranien d’envergure, dont l’oeuvre originale amorce une des premières synthèses entre le soufisme d’Ibn Arabî (m. 1240) et celui des Kubrawis. Les TROIS TRAITES ici présentés ont pour thème directeur le voyage spirituel et l’expérience de la lumière divine. Ils condensent au maximum les données symboliques du cheminement vers Dieu et de l’union spirituelle en s’appuyant sur le registre du Coran et du prophétisme islamique. Ils dévoilent surtout les étapes de l’ascension des pèlerins vers la « Source de la vie », et la fonction du « Guide de lumière », en tant que prophète initiateur et archétype de l’Homme parfait. Ils révèlent les positions parfois critiques, mais superficielles, des docteurs musulmans face au christianisme et au bouddhisme, durant l’époque mouvementée des Croisades et de la conquête mongole. Originaire de Bagdad, BAGHDADÎ occupa la charge de médecin du sultan du Khwarezm. Attiré par la voie soufie, il entra dans le cercle de Kubrâ et devint son fils spirituel et son meilleur représentant. L’Épître du Voyage spirituel, composée en persan, décrit le cheminement vers Dieu puis l’illumination spirituelle en trois chapitres : le « voyage du commun » (qui reste sans profit), le « voyage de l’élite spirituelle » (avec la conversion d’Abraham), enfin le « voyage de l’élite de l’élite » (avec l’évocation de Moïse au Sinaï). Philosophe et théologien, SEMNÂNÎ compte parmi les grandes figures du soufisme iranien. Son oeuvre, très dense, dénote l’influence combinée d’Ibn Arabî, d’Avicenne et de Sohravardî. Deux de ses traités sont ici traduits : L’Épître du dévoilement intérieur, composée en arabe, où, plutôt que de parler d’extase ou d’évasion mystique, il cherche à classer les différents plans du dévoilement en accord avec une théorie des sens subtils. Le Traité de la Lumière divine, traduit du persan, est un exposé synthétique de l’itinéraire spirituel qui suit de très près l’enseignement de Kubrâ. Le hadîth des « Soixante dix mille voiles » rythme les sept grandes étapes de l’ascension vers la lumière.