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VIVENZA Jean-Marc Martinès de Pasqually et Jean-Baptiste Willermoz - Vie, doctrine et pratiques théurgiques de l´Ordre des Chevaliers Maçons - Elus Coëns de l´Univers  Librairie Eklectic

Martinès de Pasqually et Jean-Baptiste Willermoz - Vie, doctrine et pratiques théurgiques de l´Ordre des Chevaliers Maçons - Elus Coëns de l´Univers

Auteur : VIVENZA Jean-Marc
Editeur : MERCURE DAUPHINOIS (LE)
Nombre de pages : 1184
Date de parution : 12/10/2020
Forme : Livre ISBN : 9782356624727
MERCU151

NEUF habituellement en stock
Prix : 33.00€

L´histoire de la relation qui s´est établie entre Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824) et Martinès de Pasqually († 1774), débute en avril 1767, année où les deux hommes vont se rencontrer, lors de la réception dans l´Ordre des Élus Coëns du futur fondateur du « Régime Écossais Rectifié », époque où « l´Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l´Univers », dont Martinès était le Grand Souverain, venait d´installer à l´équinoxe de printemps à l´Orient de Versailles sa plus haute instance, c´est-à-dire son « Tribunal Souverain ». À compter de cette date, Jean Baptiste Willermoz va découvrir auprès de Martinès, jusqu´en septembre 1774 où ce dernier quitta ce monde à Port-au- Prince, un ambitieux programme visant à la « réintégration des êtres dans leurs premières propriétés, vertus et puissance spirituelles divines », de même qu´une doctrine spirituelle absolument originale, gravissant tous les degrés initiatiques jusqu´à celui, ultime, de Réaux-Croix, trouvant dans « l´Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l´Univers », ce qu´il avait toujours attendu en matière de connaissances, et de surcroît la confirmation de ses espérances à propos des « mystères » subsistant au sein de la franc-maçonnerie. Ainsi que le montre la présente étude - en utilisant exclusivement, et de façon inédite, comme source unique de référence la correspondance échangée entre les deux hommes, et non en la résumant ou en s´en inspirant pour en reconstituer le récit, afin de permettre aux lecteurs d´accéder véritablement à la réalité effective de cette relation initiatique -, l´attachement et l´intérêt de Jean-Baptiste Willermoz pour la doctrine et les pratiques enseignées par Martinès de Pasqually vont dès lors se traduire par sept années d´une relation étroite (1767-1774), certes parfois délicate et traversée par des doutes et des innombrables questions, mais toujours motivée par un souci permanent d´approfondir, sans cesse, les fondements doctrinaux et « opératifs » délivrés par les Élus Coëns. La théurgie cérémonielle participant du « culte primitif », transmise par Pasqually portant sur l´invocation des esprits et des puissances angéliques, puis, et surtout, l´étude de la doctrine de la « réintégration », devint ainsi l´activité secrète des futurs Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte, qui, après la disparition des Élus Coëns, donnèrent naissance, lors du « Convent des Gaules » en 1778 à Lyon, au « Régime Écossais Rectifié », système maçonnique et chevaleresque qui devint, dès lors, en s´y « substituant » pour la suite des temps, le « conservatoire » providentiel et le « continuateur » véritable de la perspective initiatique « non apocryphe », c´est-à-dire authentique, rattachée dans l´invisible au « Haut et Saint Ordre » , fonction que Martinès de Pasqually avait originellement dévolue à l´Ordre des Élus Coëns.


L´histoire de la relation qui s´est établie entre Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824) et Martinès de Pasqually († 1774), débute en avril 1767, année où les deux hommes vont se rencontrer, lors de la réception dans l´Ordre des Élus Coëns du futur fondateur du « Régime Écossais Rectifié », époque où « l´Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l´Univers », dont Martinès était le Grand Souverain, venait d´installer à l´équinoxe de printemps à l´Orient de Versailles sa plus haute instance, c´est-à-dire son « Tribunal Souverain ». À compter de cette date, Jean Baptiste Willermoz va découvrir auprès de Martinès, jusqu´en septembre 1774 où ce dernier quitta ce monde à Port-au- Prince, un ambitieux programme visant à la « réintégration des êtres dans leurs premières propriétés, vertus et puissance spirituelles divines », de même qu´une doctrine spirituelle absolument originale, gravissant tous les degrés initiatiques jusqu´à celui, ultime, de Réaux-Croix, trouvant dans « l´Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l´Univers », ce qu´il avait toujours attendu en matière de connaissances, et de surcroît la confirmation de ses espérances à propos des « mystères » subsistant au sein de la franc-maçonnerie. Ainsi que le montre la présente étude - en utilisant exclusivement, et de façon inédite, comme source unique de référence la correspondance échangée entre les deux hommes, et non en la résumant ou en s´en inspirant pour en reconstituer le récit, afin de permettre aux lecteurs d´accéder véritablement à la réalité effective de cette relation initiatique -, l´attachement et l´intérêt de Jean-Baptiste Willermoz pour la doctrine et les pratiques enseignées par Martinès de Pasqually vont dès lors se traduire par sept années d´une relation étroite (1767-1774), certes parfois délicate et traversée par des doutes et des innombrables questions, mais toujours motivée par un souci permanent d´approfondir, sans cesse, les fondements doctrinaux et « opératifs » délivrés par les Élus Coëns. La théurgie cérémonielle participant du « culte primitif », transmise par Pasqually portant sur l´invocation des esprits et des puissances angéliques, puis, et surtout, l´étude de la doctrine de la « réintégration », devint ainsi l´activité secrète des futurs Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte, qui, après la disparition des Élus Coëns, donnèrent naissance, lors du « Convent des Gaules » en 1778 à Lyon, au « Régime Écossais Rectifié », système maçonnique et chevaleresque qui devint, dès lors, en s´y « substituant » pour la suite des temps, le « conservatoire » providentiel et le « continuateur » véritable de la perspective initiatique « non apocryphe », c´est-à-dire authentique, rattachée dans l´invisible au « Haut et Saint Ordre » , fonction que Martinès de Pasqually avait originellement dévolue à l´Ordre des Élus Coëns.