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MARCEL Antoine Monde se lève (Un). Le court poème d´éveil, son art et sa philosophie Librairie Eklectic

Monde se lève (Un). Le court poème d´éveil, son art et sa philosophie

Auteur : MARCEL Antoine
Editeur : ORIGINEL ACCARIAS
Nombre de pages : 124
Date de parution : 15/02/2010
Forme : Livre ISBN : 9782863161739
ACCARIAS139

NEUF habituellement en stock
Prix : 15.50€

Dans la culture chinoise, poésie et philosophie imprègnent la peinture de paysages, l´art des jardins, mais d´une façon générale toute vision du monde. De fait dans cette pensée d’Extrême-Orient le domaine du poétique et celui du philosophique ne sont pas séparés.
Mais au domaine philosophique et poétique vient s´ajouter un troisième, celui de l´éveil spirituel, lequel – comme on l´a souvent dit du zen – n´appartient en propre ni à la religion, ni à la philosophie, du moins telle qu´on l´entend de nos jours. Il s’agit d’une intelligence poétique, part divine en l´homme qui s´éveille au contact du monde sensible.

L´expression du zen enchâssée dans les poèmes chinois ou coréens d´éveil, les haïku japonais en particulier puisqu´ils sont si appréciés, n´avait, selon l’auteur, jusqu´ici, jamais été assez explicitée, si ce n´est en Extrême-Orient par les érudits, maîtres de tao et de tch´an/zen, pour qui il était évident qu´un éveil à la nature était un éveil à la nature-propre, et un éveil à la nature-propre un éveil à la nature, ce qui justifiait que l´on utilise le langage de la nature pour parler de la reconnaissance de l´esprit.
Dans le contexte originel des formes poétiques brèves dont il est question ici, ce que l’auteur a tenté de montrer est la poursuite d´un éveil à la vérité profonde du monde et du moi. En écrivant Un monde se lève, l’auteur créé une ouverture et aide les esprits qui aspirent à une certaine élévation spirituelle.
Après les religions anciennes, l´homme doit dépasser l´humanisme dans lequel il s´est enfermé tout en ignorant grossièrement les lois et l´harmonie vivante du cosmos.
L´enjeu de cet ouvrage, finalement, est de donner au lecteur quelques éléments qui enrichiront sa lecture de la poésie d´Extrême-Orient. Il est aussi celui de la recherche urgente d´un nouveau paradigme spirituel, au regard des fondements d´une culture autre. Peut-on fonder un renouveau de la culture occidentale, une renaissance, sur la base d´une ouverture au cosmos, d´une poétique de la nature ? Dans quelle mesure la nature parle-t-elle ? Ne s´agit-il pas plutôt de reconnaître notre propre esprit à la vue du monde ? Telles sont les questions d´actualité, auxquelles le bouddhisme Tch´an, du fait de sa synthèse de deux courants de pensée – le bouddhisme et le taoïsme–, a donné, souvent au moyen du poème bref, quelques réponses que l’auteur tente de faire comprendre au lecteur.


Dans la culture chinoise, poésie et philosophie imprègnent la peinture de paysages, l´art des jardins, mais d´une façon générale toute vision du monde. De fait dans cette pensée d’Extrême-Orient le domaine du poétique et celui du philosophique ne sont pas séparés.
Mais au domaine philosophique et poétique vient s´ajouter un troisième, celui de l´éveil spirituel, lequel – comme on l´a souvent dit du zen – n´appartient en propre ni à la religion, ni à la philosophie, du moins telle qu´on l´entend de nos jours. Il s’agit d’une intelligence poétique, part divine en l´homme qui s´éveille au contact du monde sensible.

L´expression du zen enchâssée dans les poèmes chinois ou coréens d´éveil, les haïku japonais en particulier puisqu´ils sont si appréciés, n´avait, selon l’auteur, jusqu´ici, jamais été assez explicitée, si ce n´est en Extrême-Orient par les érudits, maîtres de tao et de tch´an/zen, pour qui il était évident qu´un éveil à la nature était un éveil à la nature-propre, et un éveil à la nature-propre un éveil à la nature, ce qui justifiait que l´on utilise le langage de la nature pour parler de la reconnaissance de l´esprit.
Dans le contexte originel des formes poétiques brèves dont il est question ici, ce que l’auteur a tenté de montrer est la poursuite d´un éveil à la vérité profonde du monde et du moi. En écrivant Un monde se lève, l’auteur créé une ouverture et aide les esprits qui aspirent à une certaine élévation spirituelle.
Après les religions anciennes, l´homme doit dépasser l´humanisme dans lequel il s´est enfermé tout en ignorant grossièrement les lois et l´harmonie vivante du cosmos.
L´enjeu de cet ouvrage, finalement, est de donner au lecteur quelques éléments qui enrichiront sa lecture de la poésie d´Extrême-Orient. Il est aussi celui de la recherche urgente d´un nouveau paradigme spirituel, au regard des fondements d´une culture autre. Peut-on fonder un renouveau de la culture occidentale, une renaissance, sur la base d´une ouverture au cosmos, d´une poétique de la nature ? Dans quelle mesure la nature parle-t-elle ? Ne s´agit-il pas plutôt de reconnaître notre propre esprit à la vue du monde ? Telles sont les questions d´actualité, auxquelles le bouddhisme Tch´an, du fait de sa synthèse de deux courants de pensée – le bouddhisme et le taoïsme–, a donné, souvent au moyen du poème bref, quelques réponses que l’auteur tente de faire comprendre au lecteur.