Ernst Jünger a souvent évoqué dans son œuvre la lutte des dieux et des Titans. Mais on sait rarement que c’est chez son frère, Friedrich Georg Jünger (1898-1977), qu’il a trouvé la source de son inspiration. Auteur de plusieurs dizaines d’ouvrages, avec lesquels il s’est imposé à la fois comme un parfait connaisseur de l’Antiquité classique et comme un pré- curseur de l’écologisme, Friedrich Georg Jünger a notamment publié sur cette thématique plusieurs essais d’une rare profondeur, qui sont ici traduits pour la première fois.
Le monde moderne, héritier de Prométhée, n’est pas inépuisable. Ses ressources seront un jour épuisées. C’est en portant le regard intérieur sur le message des dieux que l’on s’en rend le mieux compte. « Jamais le génie grec ne s’est exprimé plus complètement, plus puissamment que dans le mythe, écrit encore Friedrich Georg Jünger [...] Le mythe n’entre pas dans les spéculations sur l’éternel et sur l’infini. Pour lui, les dieux sont là dans leur présence impérissable ».
Ernst Jünger a souvent évoqué dans son œuvre la lutte des dieux et des Titans. Mais on sait rarement que c’est chez son frère, Friedrich Georg Jünger (1898-1977), qu’il a trouvé la source de son inspiration. Auteur de plusieurs dizaines d’ouvrages, avec lesquels il s’est imposé à la fois comme un parfait connaisseur de l’Antiquité classique et comme un pré- curseur de l’écologisme, Friedrich Georg Jünger a notamment publié sur cette thématique plusieurs essais d’une rare profondeur, qui sont ici traduits pour la première fois.
Le monde moderne, héritier de Prométhée, n’est pas inépuisable. Ses ressources seront un jour épuisées. C’est en portant le regard intérieur sur le message des dieux que l’on s’en rend le mieux compte. « Jamais le génie grec ne s’est exprimé plus complètement, plus puissamment que dans le mythe, écrit encore Friedrich Georg Jünger [...] Le mythe n’entre pas dans les spéculations sur l’éternel et sur l’infini. Pour lui, les dieux sont là dans leur présence impérissable ».