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König Michel Le Gadl´u. La franc-maçonnerie

Le Gadl´u. La franc-maçonnerie "moderne" fille des lumières. Tome 1

Auteur : König Michel
Editeur : CONFORM Edition         collection : Pollen Maçonnique
Nombre de pages : 135
Date de parution : 28/04/2016
Forme : Livre ISBN : 9782917075647
CONFORM11

NEUF habituellement en stock
Prix : 10.00€

L’ouvrage « Aux origines de la Franc-Maçonnerie – Newton et les newtoniens », écrit en 2003 par ALAIN BAUER, qui a bien voulu préfacer cet ouvrage, démontrait que la première Grande Loge de Londres était une émanation « initiatique » de la Royal Society anglaise dont le Président était alors Isaac Newton, lequel avait pour premier assistant Jean-Théophile Desaguliers, immigré protestant, victime de l’intolérance de Louis XIV, et « Deus ex machina » de la fondation de 1717.

Cet ouvrage développe cette thèse en montrant que la création de la franc-maçonnerie symbolique s’inscrit dans le combat, commencé à la Renaissance, entre la Science et la Religion, et que le symbolisme du Grand Architecte de l’Univers constituait une revendication de l’autonomie de la Raison à l’égard des dogmes religieux et une allégorie de la « religion naturelle », expression de la philosophie des Lumières et source de tolérance et de fraternité entre les hommes, selon l’article 1er des Constitutions de 1723.

Mais elle s’inscrit aussi dans le combat politique que se sont livrés, dans l’Angleterre du 18ème siècle, les tenants d’une monarchie parlementaire et libérale et ceux, les « jacobites », partisans de la restauration d’une monarchie absolutiste de droit divin. De ce fait, les réactions à la création de la Franc-Maçonnerie ne manquèrent pas, à commencer par l’excommunication papale de 1738 et surtout en 1751 l’émergence réactionnaire de la Grande Loge des « Anciens Acceptés » qui déclencha la querelle des anciens et des modernes, dont un des enjeux principaux était justement la symbolique du Grand Architecte de L’Univers, pour les Anciens : « Dieu révélé des Saintes écritures ».

En 1813, la fondation de l’actuelle Grande Loge Unie d’Angleterre voyait la victoire des Anciens sur les Modernes et consacrait ce détournement dogmatique du symbole du GADLU. Cela devait provoquer la réaction du GODF, qui avait pris, dès sa création, le parti des « Modernes » et qui devait revenir alors sur l’invocation de ce symbole au cours du Convent historique de 1877.


L’ouvrage « Aux origines de la Franc-Maçonnerie – Newton et les newtoniens », écrit en 2003 par ALAIN BAUER, qui a bien voulu préfacer cet ouvrage, démontrait que la première Grande Loge de Londres était une émanation « initiatique » de la Royal Society anglaise dont le Président était alors Isaac Newton, lequel avait pour premier assistant Jean-Théophile Desaguliers, immigré protestant, victime de l’intolérance de Louis XIV, et « Deus ex machina » de la fondation de 1717.

Cet ouvrage développe cette thèse en montrant que la création de la franc-maçonnerie symbolique s’inscrit dans le combat, commencé à la Renaissance, entre la Science et la Religion, et que le symbolisme du Grand Architecte de l’Univers constituait une revendication de l’autonomie de la Raison à l’égard des dogmes religieux et une allégorie de la « religion naturelle », expression de la philosophie des Lumières et source de tolérance et de fraternité entre les hommes, selon l’article 1er des Constitutions de 1723.

Mais elle s’inscrit aussi dans le combat politique que se sont livrés, dans l’Angleterre du 18ème siècle, les tenants d’une monarchie parlementaire et libérale et ceux, les « jacobites », partisans de la restauration d’une monarchie absolutiste de droit divin. De ce fait, les réactions à la création de la Franc-Maçonnerie ne manquèrent pas, à commencer par l’excommunication papale de 1738 et surtout en 1751 l’émergence réactionnaire de la Grande Loge des « Anciens Acceptés » qui déclencha la querelle des anciens et des modernes, dont un des enjeux principaux était justement la symbolique du Grand Architecte de L’Univers, pour les Anciens : « Dieu révélé des Saintes écritures ».

En 1813, la fondation de l’actuelle Grande Loge Unie d’Angleterre voyait la victoire des Anciens sur les Modernes et consacrait ce détournement dogmatique du symbole du GADLU. Cela devait provoquer la réaction du GODF, qui avait pris, dès sa création, le parti des « Modernes » et qui devait revenir alors sur l’invocation de ce symbole au cours du Convent historique de 1877.